Sacralité politique. Tome 1, L'évolution totalitaire de l'Occident
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- Nombre de pages416
- PrésentationBroché
- Poids0.67 kg
- Dimensions15,8 cm × 24,0 cm × 3,1 cm
- ISBN978-2-7056-9016-8
- EAN9782705690168
- Date de parution22/04/2015
- CollectionLe Bel Aujourd'hui
- ÉditeurHermann
Résumé
Nous assistons à la résurgence de la barbarie, de l'intolérance, des fanatismes économique et religieux, de l'extrémisme. Terrorisme ? Le mot de totalitarisme est peut-être le plus adéquat. Mais à condition de distinguer ce que la théorie politique confond souvent : totalitarisme et terrorisme d'Etat. Encore faudrait-il aussi se départir de cette même philosophie politique qui tend à figer le totalitarisme en «régime».
A distance de cet héritage, le présent ouvrage propose six thèses originales sur le totalitarisme (y compris néolibéral) : ce n'est pas un régime mais une tendance - tendance moderne qui rend les hommes superflus sous forme de chômeurs ou de cadavres ; c'est, d'abord, non pas un phénomène de terreur militaro-policière extraordinaire, mais un phénomène de peur ordinaire ; c'est un mouvement technoscientifique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement étatique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement économique illimité vers la superfluité humaine ; il n'y a aucune parenté entre le totalitarisme et la démocratie : le premier est affaire de population passive, la seconde est affaire de peuple actif.
Ce livre, étayé historiquement et philosophiquement, ouvre d'autres perspectives. Une issue se dessine : l'humanité n'est pas superflue mais inconditionnelle, c'est-à-dire sacrée, en un sens nouveau qui fait signe vers une sacralité non pas religieuse, mais politique, écologique et esthétique.
A distance de cet héritage, le présent ouvrage propose six thèses originales sur le totalitarisme (y compris néolibéral) : ce n'est pas un régime mais une tendance - tendance moderne qui rend les hommes superflus sous forme de chômeurs ou de cadavres ; c'est, d'abord, non pas un phénomène de terreur militaro-policière extraordinaire, mais un phénomène de peur ordinaire ; c'est un mouvement technoscientifique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement étatique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement économique illimité vers la superfluité humaine ; il n'y a aucune parenté entre le totalitarisme et la démocratie : le premier est affaire de population passive, la seconde est affaire de peuple actif.
Ce livre, étayé historiquement et philosophiquement, ouvre d'autres perspectives. Une issue se dessine : l'humanité n'est pas superflue mais inconditionnelle, c'est-à-dire sacrée, en un sens nouveau qui fait signe vers une sacralité non pas religieuse, mais politique, écologique et esthétique.
Nous assistons à la résurgence de la barbarie, de l'intolérance, des fanatismes économique et religieux, de l'extrémisme. Terrorisme ? Le mot de totalitarisme est peut-être le plus adéquat. Mais à condition de distinguer ce que la théorie politique confond souvent : totalitarisme et terrorisme d'Etat. Encore faudrait-il aussi se départir de cette même philosophie politique qui tend à figer le totalitarisme en «régime».
A distance de cet héritage, le présent ouvrage propose six thèses originales sur le totalitarisme (y compris néolibéral) : ce n'est pas un régime mais une tendance - tendance moderne qui rend les hommes superflus sous forme de chômeurs ou de cadavres ; c'est, d'abord, non pas un phénomène de terreur militaro-policière extraordinaire, mais un phénomène de peur ordinaire ; c'est un mouvement technoscientifique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement étatique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement économique illimité vers la superfluité humaine ; il n'y a aucune parenté entre le totalitarisme et la démocratie : le premier est affaire de population passive, la seconde est affaire de peuple actif.
Ce livre, étayé historiquement et philosophiquement, ouvre d'autres perspectives. Une issue se dessine : l'humanité n'est pas superflue mais inconditionnelle, c'est-à-dire sacrée, en un sens nouveau qui fait signe vers une sacralité non pas religieuse, mais politique, écologique et esthétique.
A distance de cet héritage, le présent ouvrage propose six thèses originales sur le totalitarisme (y compris néolibéral) : ce n'est pas un régime mais une tendance - tendance moderne qui rend les hommes superflus sous forme de chômeurs ou de cadavres ; c'est, d'abord, non pas un phénomène de terreur militaro-policière extraordinaire, mais un phénomène de peur ordinaire ; c'est un mouvement technoscientifique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement étatique illimité vers la superfluité humaine ; c'est un mouvement économique illimité vers la superfluité humaine ; il n'y a aucune parenté entre le totalitarisme et la démocratie : le premier est affaire de population passive, la seconde est affaire de peuple actif.
Ce livre, étayé historiquement et philosophiquement, ouvre d'autres perspectives. Une issue se dessine : l'humanité n'est pas superflue mais inconditionnelle, c'est-à-dire sacrée, en un sens nouveau qui fait signe vers une sacralité non pas religieuse, mais politique, écologique et esthétique.