Richesse, richesse virtuelle et dette. La solution du paradoxe économique de Frederick Soddy

Par : Jean-Paul Devos

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  • Nombre de pages334
  • PrésentationBroché
  • Poids0.47 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-8231-1025-8
  • EAN9782823110258
  • Date de parution15/01/2015
  • ÉditeurPersée (Editions)

Résumé

Cet ouvrage d’économie a cela d’original qu’il a été rédigé par un scientifique (prix Nobel de chimie) et traduit par un physicien, près d’un siècle après sa parution en langue anglaise. Dans le texte publié en 1926, l’auteur, Frederick Soddy, met en lumière la nature exponentiellement divergente du système bancaire et pressent ses effets lors du siècle suivant. Il s’appuie sur les lois de la physique pour établir une théorie scientifique de l’économie où, notamment, les dettes ne peuvent pas enfl er sans limites.
Les règles de l’économie mondiale et les analyses qui en découlent ont été échafaudées par la haute finance au service d’elle seule, sans aucune considération des principes physiques précédemment mentionnés. Selon Soddy pourtant, la gouvernance économique aurait beaucoup à gagner à être traitée «avant tout comme une affaire d’ingénierie scientifique, et non une affaire de comment tirer des intérêts de morceaux de papier».
Cet ouvrage d’économie a cela d’original qu’il a été rédigé par un scientifique (prix Nobel de chimie) et traduit par un physicien, près d’un siècle après sa parution en langue anglaise. Dans le texte publié en 1926, l’auteur, Frederick Soddy, met en lumière la nature exponentiellement divergente du système bancaire et pressent ses effets lors du siècle suivant. Il s’appuie sur les lois de la physique pour établir une théorie scientifique de l’économie où, notamment, les dettes ne peuvent pas enfl er sans limites.
Les règles de l’économie mondiale et les analyses qui en découlent ont été échafaudées par la haute finance au service d’elle seule, sans aucune considération des principes physiques précédemment mentionnés. Selon Soddy pourtant, la gouvernance économique aurait beaucoup à gagner à être traitée «avant tout comme une affaire d’ingénierie scientifique, et non une affaire de comment tirer des intérêts de morceaux de papier».