Alphonse Kisito Bouh Ma Sitna est né en 1978 à Bibia, au sud du Cameroun. Historien spécialisé en égyptologie, il est l'un des promoteurs de la reconstitution de l'histoire de l'Afrique à partir de deux méthodes d'égyptologie : la pluridisciplinarité et la méthode comparative critique. Actuellement chargé d'études assistant au ministère de la Recherche scientifique et de l'innovation du Cameroun, Alphonse Kisito Bouh Ma Sitna est également cadre contractuel à l'université de Yaoundé II-Soa.
Reconstitution des migrations ancestrales des kwasio ou bantu a81 d’afrique centrale de 1628 à 1906
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- Nombre de pages130
- PrésentationBroché
- Poids0.2787 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-334-19808-0
- EAN9782334198080
- Date de parution28/09/2016
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Les Bantu, classés A81 par la linguistique, ont pour ethnonyme le terme Kwasio. Ce peuple parle la même langue mais se retrouve totalement émietté au Sud-Cameroun, en Guinée Equatoriale et au Gabon. Dans ces trois pays d'Afrique centrale, il forme des minorités qui tendent à disparaître. Au Gabon et Guinée Equatoriale par exemple, les Shiwa ou Shiwo ou encore Makina et les Sambvoumbo ne font pas partie du répertoire des peuples de ces pays.
Mieux encore, la recherche ethnologique tend, ces derniers temps, à les classer comme un rameau des peuples majoritaires voisins, ce qui a pour corolaire de falsifier leur histoire. Pour contribuer à résoudre ce problème, l'auteur a utilisé la pluridisciplinarité et la méthode comparative critique comme un moyen de reconstitution de leurs migrations ancestrales.
Mieux encore, la recherche ethnologique tend, ces derniers temps, à les classer comme un rameau des peuples majoritaires voisins, ce qui a pour corolaire de falsifier leur histoire. Pour contribuer à résoudre ce problème, l'auteur a utilisé la pluridisciplinarité et la méthode comparative critique comme un moyen de reconstitution de leurs migrations ancestrales.
Les Bantu, classés A81 par la linguistique, ont pour ethnonyme le terme Kwasio. Ce peuple parle la même langue mais se retrouve totalement émietté au Sud-Cameroun, en Guinée Equatoriale et au Gabon. Dans ces trois pays d'Afrique centrale, il forme des minorités qui tendent à disparaître. Au Gabon et Guinée Equatoriale par exemple, les Shiwa ou Shiwo ou encore Makina et les Sambvoumbo ne font pas partie du répertoire des peuples de ces pays.
Mieux encore, la recherche ethnologique tend, ces derniers temps, à les classer comme un rameau des peuples majoritaires voisins, ce qui a pour corolaire de falsifier leur histoire. Pour contribuer à résoudre ce problème, l'auteur a utilisé la pluridisciplinarité et la méthode comparative critique comme un moyen de reconstitution de leurs migrations ancestrales.
Mieux encore, la recherche ethnologique tend, ces derniers temps, à les classer comme un rameau des peuples majoritaires voisins, ce qui a pour corolaire de falsifier leur histoire. Pour contribuer à résoudre ce problème, l'auteur a utilisé la pluridisciplinarité et la méthode comparative critique comme un moyen de reconstitution de leurs migrations ancestrales.
