Quelle croissance !?. Rapport Anteios 2011
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages289
- PrésentationBroché
- Poids0.396 kg
- Dimensions15,0 cm × 21,5 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-13-058664-7
- EAN9782130586647
- Date de parution30/03/2011
- CollectionMajor
- ÉditeurPUF
Résumé
« Quelle croissance ! s’exclamaient les économistes lors des Trente Glorieuses. Quelle croissance ? s’interroge-t-on plutôt à présent. Les Trente Glorieuses sont à présent loin derrière nous. Certains le regrettent dans l’espoir d’un illusoire « boom permanent ». D’autres, qui considèrent que la période revêtait un caractère exceptionnel, sont plus fatalistes et savent se contenter d’une croissance en berne.
D’autres enfin, jugeant la croissance responsable d’une dépréciation du capital naturel et de l’aliénation de l’homme aux objets, s’en réjouissent et souhaiteraient même « dé-croître ». Et si, finalement, la crise actuelle se révélait un formidable accélérateur de l’émergence d’une nouvelle croissance ?
D’autres enfin, jugeant la croissance responsable d’une dépréciation du capital naturel et de l’aliénation de l’homme aux objets, s’en réjouissent et souhaiteraient même « dé-croître ». Et si, finalement, la crise actuelle se révélait un formidable accélérateur de l’émergence d’une nouvelle croissance ?
« Quelle croissance ! s’exclamaient les économistes lors des Trente Glorieuses. Quelle croissance ? s’interroge-t-on plutôt à présent. Les Trente Glorieuses sont à présent loin derrière nous. Certains le regrettent dans l’espoir d’un illusoire « boom permanent ». D’autres, qui considèrent que la période revêtait un caractère exceptionnel, sont plus fatalistes et savent se contenter d’une croissance en berne.
D’autres enfin, jugeant la croissance responsable d’une dépréciation du capital naturel et de l’aliénation de l’homme aux objets, s’en réjouissent et souhaiteraient même « dé-croître ». Et si, finalement, la crise actuelle se révélait un formidable accélérateur de l’émergence d’une nouvelle croissance ?
D’autres enfin, jugeant la croissance responsable d’une dépréciation du capital naturel et de l’aliénation de l’homme aux objets, s’en réjouissent et souhaiteraient même « dé-croître ». Et si, finalement, la crise actuelle se révélait un formidable accélérateur de l’émergence d’une nouvelle croissance ?