Quand la Recherche était une République. La recherche scientifique à la Libération

Par : Michel Blay

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  • Nombre de pages155
  • PrésentationBroché
  • Poids0.225 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-200-27557-0
  • EAN9782200275570
  • Date de parution16/11/2011
  • CollectionLe sens de la recherche
  • ÉditeurArmand Colin

Résumé

Le 20 août 1944, au lendemain de l’appel à l’insurrection lancé par le Comité parisien de Libération, Frédéric Joliot-Curie est nommé par Henri Wallon à la tête du CNRS. Après les années de l’Occupation et du gouvernement de Vichy, une nouvelle politique de l’enseignement supérieur et de la recherche s’imposait. C’est cette nouvelle politique issue de la Libération, impulsée par le CNR (Conseil National de la Résistance) et menée de façon ouverte et pragmatique par Frédéric Joliot qui est présentée et documentée dans ce livre. Une nouvelle politique imaginée sous les auspices conjoints, la liberté étant retrouvée, de la démocratie et de la République.
Un moment instructif qui, par la création d’une assemblée délibérante et d’un directoire exécutif, a permis le développement d’une recherche à la fois républicaine, démocratique et efficace. Une leçon de l’histoire à méditer aujourd’hui. Michel Blay, philosophe et historien des sciences, est président du Comité pour l’histoire du CNRS.
Le 20 août 1944, au lendemain de l’appel à l’insurrection lancé par le Comité parisien de Libération, Frédéric Joliot-Curie est nommé par Henri Wallon à la tête du CNRS. Après les années de l’Occupation et du gouvernement de Vichy, une nouvelle politique de l’enseignement supérieur et de la recherche s’imposait. C’est cette nouvelle politique issue de la Libération, impulsée par le CNR (Conseil National de la Résistance) et menée de façon ouverte et pragmatique par Frédéric Joliot qui est présentée et documentée dans ce livre. Une nouvelle politique imaginée sous les auspices conjoints, la liberté étant retrouvée, de la démocratie et de la République.
Un moment instructif qui, par la création d’une assemblée délibérante et d’un directoire exécutif, a permis le développement d’une recherche à la fois républicaine, démocratique et efficace. Une leçon de l’histoire à méditer aujourd’hui. Michel Blay, philosophe et historien des sciences, est président du Comité pour l’histoire du CNRS.