Profil de résistance d'Escherichia coli au LRM de Bamako. Résistance aux antimicrobiens des souches d'Escherichia coli isolées au

Par : Aminata Dembélé

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  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • Poids0.142 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-613-8-44343-8
  • EAN9786138443438
  • Date de parution01/01/2019
  • CollectionOMN.UNIV.EUROP.
  • ÉditeurUniv Européenne

Résumé

La présente étude avait pour objectifs de mettre en place un système de surveillance de la résistance aux antimicrobiens des souches d'E. coli isolées au Laboratoire R. Mérieux de 2016 à 2017. Durant l'étude 402 bacilles à gram négatif ont été identifiés parmi lesquelles les entérobactéries représentaient 92%, E. coli était le germe le plus isolé (49%). Le pourcentage d'isolement de l'espèce à partir des prélèvements urinaires était plus important (62, 5%).
Dix-huit pour cent (18%) des souches étaient productrices de BLSE. La résistance aux antibiotiques a été observée à plusieurs niveaux de familles d'antibiotiques : Les béta-lactamines, les aminosides et les quinolones. L'imipenème, la fosfomycine et la nitrofurantoine étaient les molécules les plus actives. Les souches isolées des urines étaient fortement productrices de BLSE (58, 33%). Les souches isolées dans les échantillons des patients en provenance des structures de santé communautaires produisaient plus de BLSE et de phénotypes sauvages soit 38, 89% et 70, 83% respectivement.
L'augmentation de la résistance aux antibiotiques a considérablement augmenté ce qui rend la prise en charge des infections à Escherichia coli difficile.
La présente étude avait pour objectifs de mettre en place un système de surveillance de la résistance aux antimicrobiens des souches d'E. coli isolées au Laboratoire R. Mérieux de 2016 à 2017. Durant l'étude 402 bacilles à gram négatif ont été identifiés parmi lesquelles les entérobactéries représentaient 92%, E. coli était le germe le plus isolé (49%). Le pourcentage d'isolement de l'espèce à partir des prélèvements urinaires était plus important (62, 5%).
Dix-huit pour cent (18%) des souches étaient productrices de BLSE. La résistance aux antibiotiques a été observée à plusieurs niveaux de familles d'antibiotiques : Les béta-lactamines, les aminosides et les quinolones. L'imipenème, la fosfomycine et la nitrofurantoine étaient les molécules les plus actives. Les souches isolées des urines étaient fortement productrices de BLSE (58, 33%). Les souches isolées dans les échantillons des patients en provenance des structures de santé communautaires produisaient plus de BLSE et de phénotypes sauvages soit 38, 89% et 70, 83% respectivement.
L'augmentation de la résistance aux antibiotiques a considérablement augmenté ce qui rend la prise en charge des infections à Escherichia coli difficile.
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