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Philosophie économique des institutions
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.245 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 0,9 cm
- ISBN978-613-1-52746-3
- EAN9786131527463
- Date de parution13/08/2010
- CollectionOMN.UNIV.EUROP.
- ÉditeurUniv Européenne
Résumé
La sélection d''une théorie économique se justifie au regard de sa capacité à fournir une explication pertinente des transformations des systèmes économiques. La réflexion philosophique sur les institutions et leurs évolutions permet d''opérer ce choix. D''une part, elle indique que seuls les institutionnalismes sont à même d''offrir une réelle compréhension du changement institutionnel : l''approche institutionnaliste qu''ils privilégient est capable de surmonter les insuffisances méthodologiques et analytiques des approches rationaliste et structuraliste car elle prend en compte explicitement l''institutionnel dans le cours de l''analyse.
D''autre part, l''interrogation philosophique sur les principes fondateurs de chaque théorie néo-institutionnaliste en vue de déceler celle qui est la plus apte à saisir la manière dont évoluent les institutions conduit à montrer que, au sein des trois grands néo-institutionnalismes, la théorie de la régulation y occupe une position particulière : celle-ci met en effet en oeuvre une démarche socio-historique comparative de middle range intégrant à la fois la différence et le changement qui autorise une analyse post factum des phénomènes économiques.
D''autre part, l''interrogation philosophique sur les principes fondateurs de chaque théorie néo-institutionnaliste en vue de déceler celle qui est la plus apte à saisir la manière dont évoluent les institutions conduit à montrer que, au sein des trois grands néo-institutionnalismes, la théorie de la régulation y occupe une position particulière : celle-ci met en effet en oeuvre une démarche socio-historique comparative de middle range intégrant à la fois la différence et le changement qui autorise une analyse post factum des phénomènes économiques.
La sélection d''une théorie économique se justifie au regard de sa capacité à fournir une explication pertinente des transformations des systèmes économiques. La réflexion philosophique sur les institutions et leurs évolutions permet d''opérer ce choix. D''une part, elle indique que seuls les institutionnalismes sont à même d''offrir une réelle compréhension du changement institutionnel : l''approche institutionnaliste qu''ils privilégient est capable de surmonter les insuffisances méthodologiques et analytiques des approches rationaliste et structuraliste car elle prend en compte explicitement l''institutionnel dans le cours de l''analyse.
D''autre part, l''interrogation philosophique sur les principes fondateurs de chaque théorie néo-institutionnaliste en vue de déceler celle qui est la plus apte à saisir la manière dont évoluent les institutions conduit à montrer que, au sein des trois grands néo-institutionnalismes, la théorie de la régulation y occupe une position particulière : celle-ci met en effet en oeuvre une démarche socio-historique comparative de middle range intégrant à la fois la différence et le changement qui autorise une analyse post factum des phénomènes économiques.
D''autre part, l''interrogation philosophique sur les principes fondateurs de chaque théorie néo-institutionnaliste en vue de déceler celle qui est la plus apte à saisir la manière dont évoluent les institutions conduit à montrer que, au sein des trois grands néo-institutionnalismes, la théorie de la régulation y occupe une position particulière : celle-ci met en effet en oeuvre une démarche socio-historique comparative de middle range intégrant à la fois la différence et le changement qui autorise une analyse post factum des phénomènes économiques.
A propos de Julien Reysz
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