Pater ego

Par : Sophie Moreau
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 17 décembre
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 21 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages116
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.178 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,7 cm
  • ISBN978-2-37877-190-4
  • EAN9782378771904
  • Date de parution31/07/2018
  • ÉditeurLe Lys Bleu

Résumé

La maladie éprouve moins l'amour que l'amour n'éprouve la maladie. L'amour est le fil rouge qui conduit ce récit. Le récit d'une mise à mort. Celle de la maladie. Une mygale qui s'est infiltrée dans ton cerveau, Papa, un soir d'automne. Un poison sournois qui a recouvert de noir toutes les couleurs sur son passage. Sauf celles de l'amour. Pendant un an, tu as trompé la maladie sans l'anéantir. Pendant un an, il nous manquait les mots, impuissants face à l'indescriptible.
Les mots qui expriment la colère, qui fustigent la maladie, qui traduisent la tristesse. Et puis soudain, j'ai écrit. Soudain, les mots sauvent, apaisent la reviviscence des souvenirs, réconcilient avec la douleur. Face aux maux de la maladie indicible, les mots de l'amour ineffable. Un cri d'amour pour éteindre la révolte.
La maladie éprouve moins l'amour que l'amour n'éprouve la maladie. L'amour est le fil rouge qui conduit ce récit. Le récit d'une mise à mort. Celle de la maladie. Une mygale qui s'est infiltrée dans ton cerveau, Papa, un soir d'automne. Un poison sournois qui a recouvert de noir toutes les couleurs sur son passage. Sauf celles de l'amour. Pendant un an, tu as trompé la maladie sans l'anéantir. Pendant un an, il nous manquait les mots, impuissants face à l'indescriptible.
Les mots qui expriment la colère, qui fustigent la maladie, qui traduisent la tristesse. Et puis soudain, j'ai écrit. Soudain, les mots sauvent, apaisent la reviviscence des souvenirs, réconcilient avec la douleur. Face aux maux de la maladie indicible, les mots de l'amour ineffable. Un cri d'amour pour éteindre la révolte.