Olivier ou la vie qui ne tient qu'à un psy

Par : Estelle Callewaert, Murielle Callewaert
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  • Nombre de pages184
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.281 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN979-10-284-2988-1
  • EAN9791028429881
  • Date de parution13/10/2023
  • ÉditeurVérone éditions

Résumé

Olivier a tout pour être heureux. Issu d'une famille aimante, c'est un beau garçon, sensible, émotif, doté d'une intelligence supérieure. Ce portrait flatteur dissimule en fait bien des failles. En proie à un mal-être grandissant, le jeune homme cache ses angoisses derrière un humour corrosif pour se réfugier ensuite dans l'alcool. Olivier décède en mai 2010, à l'âge de 32 ans. Dans ce récit, Murielle, sa maman, et Estelle, sa petite soeur, reprennent le fil de sa vie pour tenter de comprendre comment un tel gâchis fut possible.
Au passage, elles dénoncent le comportement de psychiatres qui, fort de leur suffisance, refusent d'entendre le patient et sa famille. Elles dressent un état des lieux d'une psychiatrie enfermée dans ses certitudes. Comme le disait Olivier lui-même dans ses lettres, retrouvées après sa mort et reprises dans le récit : "Je suis un cas atypique". Et s'il n'avait été qu'un surdoué, notion ignorée ou contestée de certains psychiatres ?
Olivier a tout pour être heureux. Issu d'une famille aimante, c'est un beau garçon, sensible, émotif, doté d'une intelligence supérieure. Ce portrait flatteur dissimule en fait bien des failles. En proie à un mal-être grandissant, le jeune homme cache ses angoisses derrière un humour corrosif pour se réfugier ensuite dans l'alcool. Olivier décède en mai 2010, à l'âge de 32 ans. Dans ce récit, Murielle, sa maman, et Estelle, sa petite soeur, reprennent le fil de sa vie pour tenter de comprendre comment un tel gâchis fut possible.
Au passage, elles dénoncent le comportement de psychiatres qui, fort de leur suffisance, refusent d'entendre le patient et sa famille. Elles dressent un état des lieux d'une psychiatrie enfermée dans ses certitudes. Comme le disait Olivier lui-même dans ses lettres, retrouvées après sa mort et reprises dans le récit : "Je suis un cas atypique". Et s'il n'avait été qu'un surdoué, notion ignorée ou contestée de certains psychiatres ?