Un très bon polar, rondement mené, sans longueurs cette fois-ci (cf 658, le précédent et premier roman de l'auteur).
Toujours le même enquêteur en retraite avec sa femme un peu plus compréhensive cette fois. Un accolite qui n'a pas la langue dans sa poche, ce qui amène un peu de fraîcheur à l'atmosphère plombée.
Car les meurtres sont rudes (décapitations), les causes limites obsènes (des jeunes femmes ayant été victimes d'abus sexuelles devenant à leur tour des prédatrices et finissant la tête en moins). Malheureusement, tout ceci n'est pas entièrement de la fiction (sauf peut-être la guillotine...).
La nature au printemps omniprésente est magnifique, et parfois j'aurai préféré faire des promenades avec Madeleine plutôt que de traquer le coupable.
Un tueur diabolique, qui a été capable de faire fructifier son idée, et de faire commettre par d'autres sa vengeance. Une machination imparable qui ne sera dévoilée et compréhensible qu'à la toute fin.
Si le troisième roman de l'auteur et encore plus réussi que le premier et le second, je l'attends avec impatience....
L'image que je retiendrai :
Celle du coyotte hantant les nuits de la maison de Gurney et présent (presque) à chaque chapitre.
Un très bon polar, rondement mené, sans longueurs cette fois-ci (cf 658, le précédent et premier roman de l'auteur).
Toujours le même enquêteur en retraite avec sa femme un peu plus compréhensive cette fois. Un accolite qui n'a pas la langue dans sa poche, ce qui amène un peu de fraîcheur à l'atmosphère plombée.
Car les meurtres sont rudes (décapitations), les causes limites obsènes (des jeunes femmes ayant été victimes d'abus sexuelles devenant à leur tour des prédatrices et finissant la tête en moins). Malheureusement, tout ceci n'est pas entièrement de la fiction (sauf peut-être la guillotine...).
La nature au printemps omniprésente est magnifique, et parfois j'aurai préféré faire des promenades avec Madeleine plutôt que de traquer le coupable.
Un tueur diabolique, qui a été capable de faire fructifier son idée, et de faire commettre par d'autres sa vengeance. Une machination imparable qui ne sera dévoilée et compréhensible qu'à la toute fin.
Si le troisième roman de l'auteur et encore plus réussi que le premier et le second, je l'attends avec impatience....
L'image que je retiendrai :
Celle du coyotte hantant les nuits de la maison de Gurney et présent (presque) à chaque chapitre.