Parmi les points positifs, on peut mettre les rencontres qu'a fait Jérémie Marie et les remarques qu'il fait sur la pratique du stop selon les pays, pratique interdite par exemple sur certaines routes américaines. Cependant, mon mari a été frustré par le fait que si l'auteur décrit en détail son périple, il ne s'attarde pas à donner des informations historiques. Il survole ainsi l'histoire des aborigènes d'Australie avec une phrase bateau culpabilisant l'homme blanc. Il aurait été passionnant de développer un peu. D'autre part, il dit que "à partir du moment où un Cubain réussit
à fouler le sol des Etats-Unis, le processus de naturalisation est enclenché". J'ai fait quelques recherches et si le processus de naturalisation est en effet facilité pour les Cubains, il y a quand-même quelques conditions à réunir, d'après ce que j'en lis. Ce document est donc parfait pour donner envie de partie avec son sac à dos mais pas pour s'instruire sur la culture des autochtones.
Pas assez fouillé
Parmi les points positifs, on peut mettre les rencontres qu'a fait Jérémie Marie et les remarques qu'il fait sur la pratique du stop selon les pays, pratique interdite par exemple sur certaines routes américaines. Cependant, mon mari a été frustré par le fait que si l'auteur décrit en détail son périple, il ne s'attarde pas à donner des informations historiques. Il survole ainsi l'histoire des aborigènes d'Australie avec une phrase bateau culpabilisant l'homme blanc. Il aurait été passionnant de développer un peu. D'autre part, il dit que "à partir du moment où un Cubain réussit à fouler le sol des Etats-Unis, le processus de naturalisation est enclenché". J'ai fait quelques recherches et si le processus de naturalisation est en effet facilité pour les Cubains, il y a quand-même quelques conditions à réunir, d'après ce que j'en lis. Ce document est donc parfait pour donner envie de partie avec son sac à dos mais pas pour s'instruire sur la culture des autochtones.