Mon tour du monde en 1980 jours

Par : Jérémy Marie, Frédéric Veille

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  • Nombre de pages405
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.224 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-8246-0629-3
  • EAN9782824606293
  • Date de parution24/06/2015
  • CollectionCity Poche
  • ÉditeurCity Editions

Résumé

L'auteur retrace son odyssée de plus de 180 000 kilomètres en 5 ans autour du monde, uniquement en stop. Il a notamment vécu le quotidien des orphelins du sida en Tanzanie, fui devant les troupes rebelles du Darfour au Soudan, connu de gros ennuis avec la police vénézuélienne ou encore fait du bateau-stop sur l'Amazone.
L'auteur retrace son odyssée de plus de 180 000 kilomètres en 5 ans autour du monde, uniquement en stop. Il a notamment vécu le quotidien des orphelins du sida en Tanzanie, fui devant les troupes rebelles du Darfour au Soudan, connu de gros ennuis avec la police vénézuélienne ou encore fait du bateau-stop sur l'Amazone.

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Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Pas assez fouillé
Parmi les points positifs, on peut mettre les rencontres qu'a fait Jérémie Marie et les remarques qu'il fait sur la pratique du stop selon les pays, pratique interdite par exemple sur certaines routes américaines. Cependant, mon mari a été frustré par le fait que si l'auteur décrit en détail son périple, il ne s'attarde pas à donner des informations historiques. Il survole ainsi l'histoire des aborigènes d'Australie avec une phrase bateau culpabilisant l'homme blanc. Il aurait été passionnant de développer un peu. D'autre part, il dit que "à partir du moment où un Cubain réussit à fouler le sol des Etats-Unis, le processus de naturalisation est enclenché". J'ai fait quelques recherches et si le processus de naturalisation est en effet facilité pour les Cubains, il y a quand-même quelques conditions à réunir, d'après ce que j'en lis. Ce document est donc parfait pour donner envie de partie avec son sac à dos mais pas pour s'instruire sur la culture des autochtones.
Parmi les points positifs, on peut mettre les rencontres qu'a fait Jérémie Marie et les remarques qu'il fait sur la pratique du stop selon les pays, pratique interdite par exemple sur certaines routes américaines. Cependant, mon mari a été frustré par le fait que si l'auteur décrit en détail son périple, il ne s'attarde pas à donner des informations historiques. Il survole ainsi l'histoire des aborigènes d'Australie avec une phrase bateau culpabilisant l'homme blanc. Il aurait été passionnant de développer un peu. D'autre part, il dit que "à partir du moment où un Cubain réussit à fouler le sol des Etats-Unis, le processus de naturalisation est enclenché". J'ai fait quelques recherches et si le processus de naturalisation est en effet facilité pour les Cubains, il y a quand-même quelques conditions à réunir, d'après ce que j'en lis. Ce document est donc parfait pour donner envie de partie avec son sac à dos mais pas pour s'instruire sur la culture des autochtones.