Mon enfance durant les années noires
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- Nombre de pages62
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.087 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 0,4 cm
- ISBN978-2-342-00292-8
- EAN9782342002928
- Date de parution01/03/2013
- ÉditeurPublibook/Société écrivains
Résumé
De l'aveu même de J. Coudert, son enfance durant la Seconde Guerre mondiale fut une période globalement heureuse et insouciante. C'est que l'enfant qu'il était - fervent, ouvert aux autres, entouré d'une famille, aimé - ignorait la présence, non loin de chez lui, d'un centre d'internement sis dans un château. Un lieu vers lequel il revient aujourd'hui. Un noir théâtre qu'il essaie de cerner, mettant par là même des mots sur les malheureux qui y furent conduits et y séjournèrent dans des conditions inhumaines : Espagnols indésirables, résistants, juifs et tous ceux que le régime en place jugeait inaptes, définitivement non bienvenus dans la société.
Ces victimes, ce texte les sort ainsi enfin de l'oubli et éclaire encore plus - parce qu'il est toujours nécessaire de se remémorer l'intolérable pour l'empêcher de se reproduire - les zones d'ombre de notre passé. Un devoir de mémoire qui relève certes d'une démarche personnelle, mais qui finit pour nous concerner toutes et tous.
Ces victimes, ce texte les sort ainsi enfin de l'oubli et éclaire encore plus - parce qu'il est toujours nécessaire de se remémorer l'intolérable pour l'empêcher de se reproduire - les zones d'ombre de notre passé. Un devoir de mémoire qui relève certes d'une démarche personnelle, mais qui finit pour nous concerner toutes et tous.
De l'aveu même de J. Coudert, son enfance durant la Seconde Guerre mondiale fut une période globalement heureuse et insouciante. C'est que l'enfant qu'il était - fervent, ouvert aux autres, entouré d'une famille, aimé - ignorait la présence, non loin de chez lui, d'un centre d'internement sis dans un château. Un lieu vers lequel il revient aujourd'hui. Un noir théâtre qu'il essaie de cerner, mettant par là même des mots sur les malheureux qui y furent conduits et y séjournèrent dans des conditions inhumaines : Espagnols indésirables, résistants, juifs et tous ceux que le régime en place jugeait inaptes, définitivement non bienvenus dans la société.
Ces victimes, ce texte les sort ainsi enfin de l'oubli et éclaire encore plus - parce qu'il est toujours nécessaire de se remémorer l'intolérable pour l'empêcher de se reproduire - les zones d'ombre de notre passé. Un devoir de mémoire qui relève certes d'une démarche personnelle, mais qui finit pour nous concerner toutes et tous.
Ces victimes, ce texte les sort ainsi enfin de l'oubli et éclaire encore plus - parce qu'il est toujours nécessaire de se remémorer l'intolérable pour l'empêcher de se reproduire - les zones d'ombre de notre passé. Un devoir de mémoire qui relève certes d'une démarche personnelle, mais qui finit pour nous concerner toutes et tous.




