Misogynie, misandrie, il y a deux sexismes

Par : Patrick Guillot
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  • Nombre de pages216
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.353 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,4 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-37504-052-2
  • EAN9782375040522
  • Date de parution13/06/2018
  • ÉditeurDe Varly éditions

Résumé

Dans son histoire, le féminisme a eu des adversaires bien identifiés : la misogynie, le conservatisme, le puritanisme, etc. Mais il semble que l'on assiste à l'émergence d'un autre adversaire, plus sournois et peut-être plus dangereux : la misandrie, autrement dit le sexisme contre les hommes. Car il y a bien deux sexismes... Là où le féminisme demande que la valeur des femmes soit reconnue à l'égal de celle des hommes, la misandrie affirme que les hommes sont d'une nature inférieure, en particulier au plan moral.
Là où le féminisme appelle à plus de respect dans les rapports humains, la misandrie prône la haine des hommes. Là où le féminisme revendique l'égalité des droits entre les sexes, la misandrie exige des droits supérieurs pour le féminin. Paradoxalement, même si elle en est une caricature, la misandrie excelle à utiliser le féminisme comme paravent. Il y a là un réel danger pour ce dernier lorsque les deux courants sont confondus, des points de vue misandres peuvent lui être abusivement attribués, et il s'en trouve discrédité.
Refusant cette confusion, l'auteur s'efforce d'établir entre eux une claire distinction, aussi bien dans l'histoire que dans l'actualité.
Dans son histoire, le féminisme a eu des adversaires bien identifiés : la misogynie, le conservatisme, le puritanisme, etc. Mais il semble que l'on assiste à l'émergence d'un autre adversaire, plus sournois et peut-être plus dangereux : la misandrie, autrement dit le sexisme contre les hommes. Car il y a bien deux sexismes... Là où le féminisme demande que la valeur des femmes soit reconnue à l'égal de celle des hommes, la misandrie affirme que les hommes sont d'une nature inférieure, en particulier au plan moral.
Là où le féminisme appelle à plus de respect dans les rapports humains, la misandrie prône la haine des hommes. Là où le féminisme revendique l'égalité des droits entre les sexes, la misandrie exige des droits supérieurs pour le féminin. Paradoxalement, même si elle en est une caricature, la misandrie excelle à utiliser le féminisme comme paravent. Il y a là un réel danger pour ce dernier lorsque les deux courants sont confondus, des points de vue misandres peuvent lui être abusivement attribués, et il s'en trouve discrédité.
Refusant cette confusion, l'auteur s'efforce d'établir entre eux une claire distinction, aussi bien dans l'histoire que dans l'actualité.