Mémento de droit canon à l'usage des clercs religieux, religieuses et laïcs
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- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- Poids0.192 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,5 cm × 0,2 cm
- ISBN2-7010-0536-1
- EAN9782701005362
- Date de parution01/01/1958
- ÉditeurBeauchesne (éditions)
Résumé
En général les lois du Code, comme les autres lois ecclésiastiques, obligent en conscience. Il y aurait en soi Péché mortel à les violer en matière grave, péché véniel en matière peu importante. Il ne semble pas y avoir une stricte obligation de ce genre à l'occasion de quelques canons contenant des exhortations moins précises (p. ex. les cc. 124,593). L'obligation morale de canons prudemment rédigés (cc.
125, 595, 1.367) n'atteint directement que les supérieurs désignés et non leurs sujets. Bien des canons ne concernent pas tous les fidèles, mais certaines catégories. Un religieux n'a pas à observer les obligations des chanoines, ni inversement. Les connaître. Sinon, comment les observer ? Les religieux doivent d'abord bien connaître les canons spécialement rédigés pour eux (cc. 487-672), mais il leur importe de ne pas ignorer bien d'autres parties du Code (sur les personnes, les clercs, les associations pieuses, les sacrements, les églises et chapelles, le culte divin, les écoles, la prohibition des livres, quelques notions et principes sur les délits et les peines)… Le présent opuscule tâchera d'en dire l'essentiel.
Le droit canon n'est pas à considérer comme un bloc erratique mais comme une des pierres de l'édifice ecclésiastique. Il se rattache à la théologie dogmatique et morale, à la pastorale, à la liturgie, à l'histoire de l'Église.
125, 595, 1.367) n'atteint directement que les supérieurs désignés et non leurs sujets. Bien des canons ne concernent pas tous les fidèles, mais certaines catégories. Un religieux n'a pas à observer les obligations des chanoines, ni inversement. Les connaître. Sinon, comment les observer ? Les religieux doivent d'abord bien connaître les canons spécialement rédigés pour eux (cc. 487-672), mais il leur importe de ne pas ignorer bien d'autres parties du Code (sur les personnes, les clercs, les associations pieuses, les sacrements, les églises et chapelles, le culte divin, les écoles, la prohibition des livres, quelques notions et principes sur les délits et les peines)… Le présent opuscule tâchera d'en dire l'essentiel.
Le droit canon n'est pas à considérer comme un bloc erratique mais comme une des pierres de l'édifice ecclésiastique. Il se rattache à la théologie dogmatique et morale, à la pastorale, à la liturgie, à l'histoire de l'Église.
En général les lois du Code, comme les autres lois ecclésiastiques, obligent en conscience. Il y aurait en soi Péché mortel à les violer en matière grave, péché véniel en matière peu importante. Il ne semble pas y avoir une stricte obligation de ce genre à l'occasion de quelques canons contenant des exhortations moins précises (p. ex. les cc. 124,593). L'obligation morale de canons prudemment rédigés (cc.
125, 595, 1.367) n'atteint directement que les supérieurs désignés et non leurs sujets. Bien des canons ne concernent pas tous les fidèles, mais certaines catégories. Un religieux n'a pas à observer les obligations des chanoines, ni inversement. Les connaître. Sinon, comment les observer ? Les religieux doivent d'abord bien connaître les canons spécialement rédigés pour eux (cc. 487-672), mais il leur importe de ne pas ignorer bien d'autres parties du Code (sur les personnes, les clercs, les associations pieuses, les sacrements, les églises et chapelles, le culte divin, les écoles, la prohibition des livres, quelques notions et principes sur les délits et les peines)… Le présent opuscule tâchera d'en dire l'essentiel.
Le droit canon n'est pas à considérer comme un bloc erratique mais comme une des pierres de l'édifice ecclésiastique. Il se rattache à la théologie dogmatique et morale, à la pastorale, à la liturgie, à l'histoire de l'Église.
125, 595, 1.367) n'atteint directement que les supérieurs désignés et non leurs sujets. Bien des canons ne concernent pas tous les fidèles, mais certaines catégories. Un religieux n'a pas à observer les obligations des chanoines, ni inversement. Les connaître. Sinon, comment les observer ? Les religieux doivent d'abord bien connaître les canons spécialement rédigés pour eux (cc. 487-672), mais il leur importe de ne pas ignorer bien d'autres parties du Code (sur les personnes, les clercs, les associations pieuses, les sacrements, les églises et chapelles, le culte divin, les écoles, la prohibition des livres, quelques notions et principes sur les délits et les peines)… Le présent opuscule tâchera d'en dire l'essentiel.
Le droit canon n'est pas à considérer comme un bloc erratique mais comme une des pierres de l'édifice ecclésiastique. Il se rattache à la théologie dogmatique et morale, à la pastorale, à la liturgie, à l'histoire de l'Église.