Originaire de Chapelle Villarson, quartier du Robert en Martinique, elle cultive depuis son plus jeune âge une passion dévorante pour les mots. Sa carrière professionnelle, passée au service des autres, influence son écriture. Elle est empreinte de sensibilité et de réalisme, elle explore les injustices sociales et met en lumière les destins méconnus.
Mary-Yvonne et les autres
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.27 kg
- Dimensions12,0 cm × 19,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-487105-03-4
- EAN9782487105034
- Date de parution04/05/2024
- ÉditeurLes éditions du Mahury
Résumé
"Septembre 1967. Madame Verbier, responsable des oeuvres sociales dans ma commune, nous inscrit pour le Bumidom. Cette appellation me fait peur. Elle sonne comme un gong funeste." Derrière ce nom, "Bumidom", l'histoire d'une déportation d'ultramarins vers la métropole. On l'a présenté comme l'eldorado. Mais sur place, la réalité est beaucoup plus tragique. Marie-Yvonne, Joséphine, Géromine, Renéta et toutes les autres nous plongent dans un récit saisissant.
Nous vivons avec elles cette histoire secrète qui aurait pu disparaître. Fermer les yeux et oublier, c'était la solution facile. Après tout, ces hommes, et ces femmes surtout, ne valaient pas grand-chose. C'étaient des noirs.
Nous vivons avec elles cette histoire secrète qui aurait pu disparaître. Fermer les yeux et oublier, c'était la solution facile. Après tout, ces hommes, et ces femmes surtout, ne valaient pas grand-chose. C'étaient des noirs.
"Septembre 1967. Madame Verbier, responsable des oeuvres sociales dans ma commune, nous inscrit pour le Bumidom. Cette appellation me fait peur. Elle sonne comme un gong funeste." Derrière ce nom, "Bumidom", l'histoire d'une déportation d'ultramarins vers la métropole. On l'a présenté comme l'eldorado. Mais sur place, la réalité est beaucoup plus tragique. Marie-Yvonne, Joséphine, Géromine, Renéta et toutes les autres nous plongent dans un récit saisissant.
Nous vivons avec elles cette histoire secrète qui aurait pu disparaître. Fermer les yeux et oublier, c'était la solution facile. Après tout, ces hommes, et ces femmes surtout, ne valaient pas grand-chose. C'étaient des noirs.
Nous vivons avec elles cette histoire secrète qui aurait pu disparaître. Fermer les yeux et oublier, c'était la solution facile. Après tout, ces hommes, et ces femmes surtout, ne valaient pas grand-chose. C'étaient des noirs.