Manifeste pour un peuple calédonien. ou la Construction à venir d’une Nouvelle-Calédonie « arc-en-ciel » , « petite nation » dans la France ultramarine

Par : Frédéric Angleviel
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  • Nombre de pages172
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.208 kg
  • Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-414-32552-8
  • EAN9782414325528
  • Date de parution18/03/2019
  • ÉditeurEdilivre

Résumé

Ce deuxième essai est la suite logique de Comprendre les référendums de 2018-2022 en Nouvelle-Calédonie. Il s'agit de se poser, au-delà de la question lancinante du débat-combat pour l'indépendance ou pour le maintien dans la France ultramarine, une interrogation bien plus porteuse de sens et d'avenir : le peuple calédonien appelé de ses voeux par Maurice Lenormand dès 1958 existe-t-il ? Nous répondons "oui".
Les graines ont été ensemencées lorsque le parti autonomiste multiracial Union calédonienne prit comme devise : "Deux couleurs, un seul peuple". La germination a commencé quand Jacques Lafleur a déclaré en 1977 : "Ceux qui ont doivent donner à ceux qui n'ont pas." Le préambule de l'accord de Nouméa a lancé une nouvelle dynamique. On est passé d'un état végétatif à un état de gestation quand l'accord de Nouméa a permis aux deux principes opposés de convoler.
Un bébé en est né : le peuple calédonien. Ses parents continueront-ils à se disputer ou donneront-ils le meilleur d'eux-mêmes au fruit de leurs entrailles. Tout dépendra de vous, de nous, d'eux, d'ils et d'elles !
Ce deuxième essai est la suite logique de Comprendre les référendums de 2018-2022 en Nouvelle-Calédonie. Il s'agit de se poser, au-delà de la question lancinante du débat-combat pour l'indépendance ou pour le maintien dans la France ultramarine, une interrogation bien plus porteuse de sens et d'avenir : le peuple calédonien appelé de ses voeux par Maurice Lenormand dès 1958 existe-t-il ? Nous répondons "oui".
Les graines ont été ensemencées lorsque le parti autonomiste multiracial Union calédonienne prit comme devise : "Deux couleurs, un seul peuple". La germination a commencé quand Jacques Lafleur a déclaré en 1977 : "Ceux qui ont doivent donner à ceux qui n'ont pas." Le préambule de l'accord de Nouméa a lancé une nouvelle dynamique. On est passé d'un état végétatif à un état de gestation quand l'accord de Nouméa a permis aux deux principes opposés de convoler.
Un bébé en est né : le peuple calédonien. Ses parents continueront-ils à se disputer ou donneront-ils le meilleur d'eux-mêmes au fruit de leurs entrailles. Tout dépendra de vous, de nous, d'eux, d'ils et d'elles !