Les Tueurs d'Anges et autres récits fantastiques

Par : José Cita
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  • Nombre de pages154
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.188 kg
  • Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,1 cm
  • ISBN978-2-414-57478-0
  • EAN9782414574780
  • Date de parution22/03/2022
  • ÉditeurEdilivre

Résumé

Ces nouvelles de pure fiction n'ont pas d'autre prétention que celle de vous divertir. Il n'en demeure pas moins que des thèmes très variés, parfois graves, parfois même universels y sont traités " l'air de ne pas y toucher " : L'Art pour l'Art mais avec un je-ne-sais-quoi d'humainement utile ; le terrorisme y est évoqué sous un prisme poétique pour le moins surprenant (Les Tueurs d'Anges), la déshumanisation des villes nous est livrée sans filtre (Violences urbaines), la condition humaine apparaît dans sa bestialité la plus brutale, quelquefois sublimée par l'érotisme, mais toujours implacable (L'Aveugle, Le Monstre, Canis Lupus), la Folie terrifiante qui déstabilise l'Esprit (Maison de repos, La Nuit des Fous, Jean-Christophe en Enfer) et la Mort regardée droit dans les yeux sans faiblir (Enfin Libre, Morituri, Histoire Simple, Le Tombeau) et puis enfin la poésie, omniprésente à chaque page, amusante (Un Bon Diable), hallucinante (Cette Nuit l'Apocalypse), émouvante (Pauvre Sancho, Le Shtetl) ; de la poésie en prose, genre très rarement usité dans la littérature française.
De la littérature, oui, à n'en pas douter, à l'ancienne, consistante et riche, qui tient au corps...
Ces nouvelles de pure fiction n'ont pas d'autre prétention que celle de vous divertir. Il n'en demeure pas moins que des thèmes très variés, parfois graves, parfois même universels y sont traités " l'air de ne pas y toucher " : L'Art pour l'Art mais avec un je-ne-sais-quoi d'humainement utile ; le terrorisme y est évoqué sous un prisme poétique pour le moins surprenant (Les Tueurs d'Anges), la déshumanisation des villes nous est livrée sans filtre (Violences urbaines), la condition humaine apparaît dans sa bestialité la plus brutale, quelquefois sublimée par l'érotisme, mais toujours implacable (L'Aveugle, Le Monstre, Canis Lupus), la Folie terrifiante qui déstabilise l'Esprit (Maison de repos, La Nuit des Fous, Jean-Christophe en Enfer) et la Mort regardée droit dans les yeux sans faiblir (Enfin Libre, Morituri, Histoire Simple, Le Tombeau) et puis enfin la poésie, omniprésente à chaque page, amusante (Un Bon Diable), hallucinante (Cette Nuit l'Apocalypse), émouvante (Pauvre Sancho, Le Shtetl) ; de la poésie en prose, genre très rarement usité dans la littérature française.
De la littérature, oui, à n'en pas douter, à l'ancienne, consistante et riche, qui tient au corps...