Les représentations de Cupidon et de la mythologie de l'amour dans Les masques de Ben Jonson

Par : Cédric Huwé
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  • Nombre de pages74
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.111 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7539-0495-8
  • EAN9782753904958
  • Date de parution01/07/2017
  • ÉditeurConnaissances et Savoirs

Résumé

Ben Jonson établit dans le Masque, un genre théâtral et même une genèse de l'opéra dont le masque demeure l'ancêtre aux normes bien spécifiques. D'après J. Jacquot : le terme "mask" ou "masque" au temps des Tudors et des Stuarts n'a pas pour premier sens celui du français "masque" , c'est-à-dire "faux visage" . Il signifie d'abord et le plus souvent "mascarade" , puis, dans la dernière partie du XVIe siècle, il sert à décrire l'ensemble du divertissement aristocratique correspondant à peu près au ballet de cour en France.
Mot espagnol tiré de l'arabe, le vocable "masque" avait pénétré en Angleterre par l'entremise du français au début du XVIe siècle. Anglicisé, il avait pris la forme "mask" , mais, vers la fin du siècle, avait retrouvé l'orthographe française qu'adopte Ben JonsonNous pensons d'abord aux Masques comme un divertissement accompagnant des cérémonies maritales de personnes prestigieuses de la cour ou du Roi (Charles Ier et Jacques Ier) et de la Reine (la Reine Henriette-Marie).
Au-delà du masque, Ben Jonson articule dans sa célèbre préface d'"Hymenaei", sa plus substantielle défense du masque, articulant son devoir de "sound to present occasions" et portant "on more remou'd mysteries" (VII, p. 209) . Voici une citation, dont la définition rappelle bien au départ le genre du masque comme mystère entre autre éducatif pour le Monarque personnifié en dieu ou demi-dieu. J. -C.
Meagher précise dans sa préface une manière de voir le masque et que "The worst possible way to approach the Jonsonian masque is precisely the way it usually happens".
Ben Jonson établit dans le Masque, un genre théâtral et même une genèse de l'opéra dont le masque demeure l'ancêtre aux normes bien spécifiques. D'après J. Jacquot : le terme "mask" ou "masque" au temps des Tudors et des Stuarts n'a pas pour premier sens celui du français "masque" , c'est-à-dire "faux visage" . Il signifie d'abord et le plus souvent "mascarade" , puis, dans la dernière partie du XVIe siècle, il sert à décrire l'ensemble du divertissement aristocratique correspondant à peu près au ballet de cour en France.
Mot espagnol tiré de l'arabe, le vocable "masque" avait pénétré en Angleterre par l'entremise du français au début du XVIe siècle. Anglicisé, il avait pris la forme "mask" , mais, vers la fin du siècle, avait retrouvé l'orthographe française qu'adopte Ben JonsonNous pensons d'abord aux Masques comme un divertissement accompagnant des cérémonies maritales de personnes prestigieuses de la cour ou du Roi (Charles Ier et Jacques Ier) et de la Reine (la Reine Henriette-Marie).
Au-delà du masque, Ben Jonson articule dans sa célèbre préface d'"Hymenaei", sa plus substantielle défense du masque, articulant son devoir de "sound to present occasions" et portant "on more remou'd mysteries" (VII, p. 209) . Voici une citation, dont la définition rappelle bien au départ le genre du masque comme mystère entre autre éducatif pour le Monarque personnifié en dieu ou demi-dieu. J. -C.
Meagher précise dans sa préface une manière de voir le masque et que "The worst possible way to approach the Jonsonian masque is precisely the way it usually happens".