Les Pyrénées. Paysages et Esquisses
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- Nombre de pages64
- PrésentationBroché
- Poids0.097 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,4 cm
- ISBN979-10-418-1526-5
- EAN9791041815265
- Date de parution22/05/2023
- ÉditeurSHS Editions
Résumé
" Avec vos fiers sommets et vos rochers géants, Vos glaciers éternels, vos abîmes béants, De neiges, de forêts, vos têtes couronnées, Oui, c'est vous ! De mes yeux je vais enfin vous voir, Vous, dont le front s'empourpre à l'approche du soir ! Vous voici donc, ô Pyrénées ! Tout enfant, j'enviais d'un désir incertain. Ceux qui pouvaient se perdre en un pays lointain. Vers vous, plus d'une fois, s'est dirigé mon rêve.
J'admirais vos aspects, je prenais mon élan Jusqu'à ces pics abrupts, d'où le sombre ouragan Sur les vallons descend et crève. Et je viens, à mon tour, ô sublimes hauteurs, Respirer votre air pur et qui nous rend meilleurs, M'enivrer du parfum des pins et des grands chênes. Je sens battre mon coeur et mes pensées grandir, Quand, au soleil levant, je vous vois resplendir, Apres sommets, cimes sereines ! Vous ne vieillissez pas, les saisons et les ans Unissent contre vous leurs efforts impuissants ; Les hivers vainement s'accumulent sans cesse ; Les siècles infinis passent comme des jours, Sans ternir votre front ! Et vous gardez toujours Même beauté, même jeunesse".
J'admirais vos aspects, je prenais mon élan Jusqu'à ces pics abrupts, d'où le sombre ouragan Sur les vallons descend et crève. Et je viens, à mon tour, ô sublimes hauteurs, Respirer votre air pur et qui nous rend meilleurs, M'enivrer du parfum des pins et des grands chênes. Je sens battre mon coeur et mes pensées grandir, Quand, au soleil levant, je vous vois resplendir, Apres sommets, cimes sereines ! Vous ne vieillissez pas, les saisons et les ans Unissent contre vous leurs efforts impuissants ; Les hivers vainement s'accumulent sans cesse ; Les siècles infinis passent comme des jours, Sans ternir votre front ! Et vous gardez toujours Même beauté, même jeunesse".
" Avec vos fiers sommets et vos rochers géants, Vos glaciers éternels, vos abîmes béants, De neiges, de forêts, vos têtes couronnées, Oui, c'est vous ! De mes yeux je vais enfin vous voir, Vous, dont le front s'empourpre à l'approche du soir ! Vous voici donc, ô Pyrénées ! Tout enfant, j'enviais d'un désir incertain. Ceux qui pouvaient se perdre en un pays lointain. Vers vous, plus d'une fois, s'est dirigé mon rêve.
J'admirais vos aspects, je prenais mon élan Jusqu'à ces pics abrupts, d'où le sombre ouragan Sur les vallons descend et crève. Et je viens, à mon tour, ô sublimes hauteurs, Respirer votre air pur et qui nous rend meilleurs, M'enivrer du parfum des pins et des grands chênes. Je sens battre mon coeur et mes pensées grandir, Quand, au soleil levant, je vous vois resplendir, Apres sommets, cimes sereines ! Vous ne vieillissez pas, les saisons et les ans Unissent contre vous leurs efforts impuissants ; Les hivers vainement s'accumulent sans cesse ; Les siècles infinis passent comme des jours, Sans ternir votre front ! Et vous gardez toujours Même beauté, même jeunesse".
J'admirais vos aspects, je prenais mon élan Jusqu'à ces pics abrupts, d'où le sombre ouragan Sur les vallons descend et crève. Et je viens, à mon tour, ô sublimes hauteurs, Respirer votre air pur et qui nous rend meilleurs, M'enivrer du parfum des pins et des grands chênes. Je sens battre mon coeur et mes pensées grandir, Quand, au soleil levant, je vous vois resplendir, Apres sommets, cimes sereines ! Vous ne vieillissez pas, les saisons et les ans Unissent contre vous leurs efforts impuissants ; Les hivers vainement s'accumulent sans cesse ; Les siècles infinis passent comme des jours, Sans ternir votre front ! Et vous gardez toujours Même beauté, même jeunesse".