Les fusillés du Genevois, 1944. Contexte, causes, conséquences
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- Nombre de pages238
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.391 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-8106-2353-2
- EAN9782810623532
- Date de parution19/02/2025
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Il est 20 heures ce jeudi 7 septembre 1944, dans une petite cité établie aux portes de Genève. Le crépuscule de ce jour pluvieux approche, et dix-huit hommes alignés le long du mur du cimetière attendent la mort. La journée a été consacrée à leur procès par une cour martiale improvisée, la même qui avait sévi au Grand Bornand deux semaines plus tôt. Mais qui étaient ces hommes et surtout qui étaient leurs juges ? Cet évènement s'inscrivit dans cette période d'Epuration sauvage qui conclura, après de multiples convulsions, une guerre civile meurtrière qui s'était déroulée en Haute-Savoie de 1943 à 1944.
De telles violences, qui n'avaient plus eu cours depuis la grande Terreur de 1793, découlèrent de causes intimement liées à l'Histoire et à la Géographie de ce territoire de montagne, majoritairement catholique, situé aux confins du pays, à la frontière de la Suisse et loin de l'Italie. Les fractures de la société d'alors, dont les lois de séparation des Eglises et de l'Etat furent un puissant révélateur, conduisirent à des antagonismes funestes dans un contexte de Troisième République agonisante.
Les conséquences de ce qui ressembla à une énième déclinaison de conflits religieux ne furent pas neutres, car les divisions du corps social de l'époque sont, semble-t-il, toujours présentes dans notre société d'aujourd'hui. De telles épreuves pourraient-elles se reproduire ?
De telles violences, qui n'avaient plus eu cours depuis la grande Terreur de 1793, découlèrent de causes intimement liées à l'Histoire et à la Géographie de ce territoire de montagne, majoritairement catholique, situé aux confins du pays, à la frontière de la Suisse et loin de l'Italie. Les fractures de la société d'alors, dont les lois de séparation des Eglises et de l'Etat furent un puissant révélateur, conduisirent à des antagonismes funestes dans un contexte de Troisième République agonisante.
Les conséquences de ce qui ressembla à une énième déclinaison de conflits religieux ne furent pas neutres, car les divisions du corps social de l'époque sont, semble-t-il, toujours présentes dans notre société d'aujourd'hui. De telles épreuves pourraient-elles se reproduire ?
Il est 20 heures ce jeudi 7 septembre 1944, dans une petite cité établie aux portes de Genève. Le crépuscule de ce jour pluvieux approche, et dix-huit hommes alignés le long du mur du cimetière attendent la mort. La journée a été consacrée à leur procès par une cour martiale improvisée, la même qui avait sévi au Grand Bornand deux semaines plus tôt. Mais qui étaient ces hommes et surtout qui étaient leurs juges ? Cet évènement s'inscrivit dans cette période d'Epuration sauvage qui conclura, après de multiples convulsions, une guerre civile meurtrière qui s'était déroulée en Haute-Savoie de 1943 à 1944.
De telles violences, qui n'avaient plus eu cours depuis la grande Terreur de 1793, découlèrent de causes intimement liées à l'Histoire et à la Géographie de ce territoire de montagne, majoritairement catholique, situé aux confins du pays, à la frontière de la Suisse et loin de l'Italie. Les fractures de la société d'alors, dont les lois de séparation des Eglises et de l'Etat furent un puissant révélateur, conduisirent à des antagonismes funestes dans un contexte de Troisième République agonisante.
Les conséquences de ce qui ressembla à une énième déclinaison de conflits religieux ne furent pas neutres, car les divisions du corps social de l'époque sont, semble-t-il, toujours présentes dans notre société d'aujourd'hui. De telles épreuves pourraient-elles se reproduire ?
De telles violences, qui n'avaient plus eu cours depuis la grande Terreur de 1793, découlèrent de causes intimement liées à l'Histoire et à la Géographie de ce territoire de montagne, majoritairement catholique, situé aux confins du pays, à la frontière de la Suisse et loin de l'Italie. Les fractures de la société d'alors, dont les lois de séparation des Eglises et de l'Etat furent un puissant révélateur, conduisirent à des antagonismes funestes dans un contexte de Troisième République agonisante.
Les conséquences de ce qui ressembla à une énième déclinaison de conflits religieux ne furent pas neutres, car les divisions du corps social de l'époque sont, semble-t-il, toujours présentes dans notre société d'aujourd'hui. De telles épreuves pourraient-elles se reproduire ?