Sous le prétexte de " sauver la planète ", l'ONU, sous l'influence de l'écologie radicale depuis plus de 30 ans, impose aux Nations la fin anticipée des énergies fossiles (pétrole, charbon et gaz), facteurs essentiels de notre prospérité économique depuis plus d'un siècle, ainsi qu'une transition énergétique à base d'énergies renouvelables intermittentes (éolien et solaire), à l'effet sur le climat tout à fait incertain.
Mais l'auteur montre que, ce faisant, le GIEC, bras armé de l'ONU en matière climatique et énergétique, s'est prévalu, pour imposer ses thèses, d'un consensus scientifique " fabriqué " qui est loin de correspondre à la réalité. Pour les Dissidents du Climat, le ? CO ? anthropique ne joue qu'un rôle secondaire dans le réchauffement climatique. En conséquence, c'est toute la science climatique et la transition énergétique prônée par l'ONU et imposée par l'Union Européenne qui doivent faire l'objet d'un nouvel examen, avec la participation des Dissidents du Climat.
Sous le prétexte de " sauver la planète ", l'ONU, sous l'influence de l'écologie radicale depuis plus de 30 ans, impose aux Nations la fin anticipée des énergies fossiles (pétrole, charbon et gaz), facteurs essentiels de notre prospérité économique depuis plus d'un siècle, ainsi qu'une transition énergétique à base d'énergies renouvelables intermittentes (éolien et solaire), à l'effet sur le climat tout à fait incertain.
Mais l'auteur montre que, ce faisant, le GIEC, bras armé de l'ONU en matière climatique et énergétique, s'est prévalu, pour imposer ses thèses, d'un consensus scientifique " fabriqué " qui est loin de correspondre à la réalité. Pour les Dissidents du Climat, le ? CO ? anthropique ne joue qu'un rôle secondaire dans le réchauffement climatique. En conséquence, c'est toute la science climatique et la transition énergétique prônée par l'ONU et imposée par l'Union Européenne qui doivent faire l'objet d'un nouvel examen, avec la participation des Dissidents du Climat.