Les Dessous de l'affaire Dreyfus. La contre-enquête de celui qui fut finalement reconnu coupable devant la justice militaire
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.354 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-322-40657-9
- EAN9782322406579
- Date de parution03/08/2022
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
L'affaire Dreyfus fut en réalité l'affaire Dreyfus-Esterhazy. Dans un premier temps, seul le capitaine Alfred Dreyfus, stagiaire au 2e bureau de l'état-major, est mis en cause. Accusé d'être l'auteur de la fameuse lettre-bordereau annonçant à l'attaché militaire allemand, von Schwartzkoppen, la livraison de cinq notes, notamment sur "le frein hydraulique du [canon] de 120 [... ]" , il est condamné à l'unanimité du conseil de guerre, le 22 décembre 1894, à la déportation à vie sur l'île du Diable, en Guyane, et à la dégradation militaire.
Le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy n'entre en scène qu'en août 1896, lorsque est dévoilée l'interception d'un télégramme adressé à ce dernier par von Schwartzkoppen (le fameux "petit bleu"). Des documents manuscrits d'Esterhazy semblent révéler une similitude d'écriture avec celle du bordereau. Les dreyfusards désignent, alors, en lui le véritable coupable, tandis que les antidreyfusards se font de plus en plus partiaux.
Traduit, à son tour, devant le conseil de guerre, Esterhazy est, cependant, acquitté le 11 janvier 1898. Dreyfus devra, quant à lui, attendre l'arrêt de la Cour de cassation du 12 juillet 1906 pour voir, de facto, son innocence reconnue...
Le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy n'entre en scène qu'en août 1896, lorsque est dévoilée l'interception d'un télégramme adressé à ce dernier par von Schwartzkoppen (le fameux "petit bleu"). Des documents manuscrits d'Esterhazy semblent révéler une similitude d'écriture avec celle du bordereau. Les dreyfusards désignent, alors, en lui le véritable coupable, tandis que les antidreyfusards se font de plus en plus partiaux.
Traduit, à son tour, devant le conseil de guerre, Esterhazy est, cependant, acquitté le 11 janvier 1898. Dreyfus devra, quant à lui, attendre l'arrêt de la Cour de cassation du 12 juillet 1906 pour voir, de facto, son innocence reconnue...
L'affaire Dreyfus fut en réalité l'affaire Dreyfus-Esterhazy. Dans un premier temps, seul le capitaine Alfred Dreyfus, stagiaire au 2e bureau de l'état-major, est mis en cause. Accusé d'être l'auteur de la fameuse lettre-bordereau annonçant à l'attaché militaire allemand, von Schwartzkoppen, la livraison de cinq notes, notamment sur "le frein hydraulique du [canon] de 120 [... ]" , il est condamné à l'unanimité du conseil de guerre, le 22 décembre 1894, à la déportation à vie sur l'île du Diable, en Guyane, et à la dégradation militaire.
Le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy n'entre en scène qu'en août 1896, lorsque est dévoilée l'interception d'un télégramme adressé à ce dernier par von Schwartzkoppen (le fameux "petit bleu"). Des documents manuscrits d'Esterhazy semblent révéler une similitude d'écriture avec celle du bordereau. Les dreyfusards désignent, alors, en lui le véritable coupable, tandis que les antidreyfusards se font de plus en plus partiaux.
Traduit, à son tour, devant le conseil de guerre, Esterhazy est, cependant, acquitté le 11 janvier 1898. Dreyfus devra, quant à lui, attendre l'arrêt de la Cour de cassation du 12 juillet 1906 pour voir, de facto, son innocence reconnue...
Le commandant Ferdinand Walsin Esterhazy n'entre en scène qu'en août 1896, lorsque est dévoilée l'interception d'un télégramme adressé à ce dernier par von Schwartzkoppen (le fameux "petit bleu"). Des documents manuscrits d'Esterhazy semblent révéler une similitude d'écriture avec celle du bordereau. Les dreyfusards désignent, alors, en lui le véritable coupable, tandis que les antidreyfusards se font de plus en plus partiaux.
Traduit, à son tour, devant le conseil de guerre, Esterhazy est, cependant, acquitté le 11 janvier 1898. Dreyfus devra, quant à lui, attendre l'arrêt de la Cour de cassation du 12 juillet 1906 pour voir, de facto, son innocence reconnue...