Leçons. Tome 1, La 901e conclusion : étude sur le théâtre de la Raison
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- Nombre de pages464
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.81 kg
- Dimensions15,4 cm × 23,5 cm × 3,4 cm
- ISBN2-213-59981-5
- EAN9782213599816
- Date de parution01/04/1998
- ÉditeurFayard
Résumé
En 1486, Jean Pic de La Mirandole publiait à Rome l'ouvrage intitulé Conclusiones sive Theses DCCCC, les 900 Conclusions ou Thèses.
J'inscris la 901e, sous mon nom. Elle sera l'enveloppe de ma proposition de travail pour ces Leçons I.
Serait-ce que j'envisage d'ajouter quelques sentences de mon art à ce traité dont Pic avait fixé le titre sous un chiffre mystique ? Non. J'ai simplement choisi, pour des motifs que je vais exposer, de me coller à ce titre, par le forçage d'une addition qui n'en est pas une.
Ce à quoi s'autorisaient les glossateurs scolastiques, à quoi s'autorisent encore les publicitaires et les militants, coller son propre texte au discours d'un autre, pourquoi ne m'y aventurerais-je pas ?
Ce à quoi s'autorisaient les glossateurs scolastiques, à quoi s'autorisent encore les publicitaires et les militants, coller son propre texte au discours d'un autre, pourquoi ne m'y aventurerais-je pas ?
En 1486, Jean Pic de La Mirandole publiait à Rome l'ouvrage intitulé Conclusiones sive Theses DCCCC, les 900 Conclusions ou Thèses.
J'inscris la 901e, sous mon nom. Elle sera l'enveloppe de ma proposition de travail pour ces Leçons I.
Serait-ce que j'envisage d'ajouter quelques sentences de mon art à ce traité dont Pic avait fixé le titre sous un chiffre mystique ? Non. J'ai simplement choisi, pour des motifs que je vais exposer, de me coller à ce titre, par le forçage d'une addition qui n'en est pas une.
Ce à quoi s'autorisaient les glossateurs scolastiques, à quoi s'autorisent encore les publicitaires et les militants, coller son propre texte au discours d'un autre, pourquoi ne m'y aventurerais-je pas ?
Ce à quoi s'autorisaient les glossateurs scolastiques, à quoi s'autorisent encore les publicitaires et les militants, coller son propre texte au discours d'un autre, pourquoi ne m'y aventurerais-je pas ?