Le Procès de l'Histoire et du Postmonde chez Milan Kundera

Par : Jean marie Yombo

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  • Nombre de pages226
  • PrésentationBroché
  • Poids0.299 kg
  • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-9956-459-86-5
  • EAN9789956459865
  • Date de parution20/05/2025
  • ÉditeurPygmies
  • EditeurPygmies Éditions

Résumé

Cet ouvrage parait dans un contexte mondial marqué par un grand basculement des valeurs consécutif à l'étiolement du zèle révolutionnaire et aux illusions entretenues par le culte de l'avenir, qui a laissé croire aux modernes que la grande marche de l'Histoire hâterait l'avènement de l'âge d'or. Il explore l'oeuvre de Milan Kundera, laquelle embrasse un horizon sociologique d'envergure planétaire en s'inspirant de l'invasion russe de la Tchécoslovaquie pour représenter le retournement catastrophique de la Révolution contre ses plus fervents zélateurs et engager ainsi une grande réflexion sur la domination de l'homme par la force ingouvernable de l'Histoire.
Aussi s'intéresse-t-il à la représentation caustique que le romancier donne de l'imaginaire social indexé à la période crépusculaire du Postmonde, où sévit la fausse culture lénifiante du kitsch hédoniste diffusée par les médias. En partant de cette auscultation de notre contemporanéité, l'auteur de l'ouvrage conclut que l'oeuvre de Milan Kundera, par l'effet de vie littéraire qui s'en dégage, substitue le ré-enchantement de l'homme au sentiment obsidional d'une vie livrée aux forces de la médiation.
Cet ouvrage parait dans un contexte mondial marqué par un grand basculement des valeurs consécutif à l'étiolement du zèle révolutionnaire et aux illusions entretenues par le culte de l'avenir, qui a laissé croire aux modernes que la grande marche de l'Histoire hâterait l'avènement de l'âge d'or. Il explore l'oeuvre de Milan Kundera, laquelle embrasse un horizon sociologique d'envergure planétaire en s'inspirant de l'invasion russe de la Tchécoslovaquie pour représenter le retournement catastrophique de la Révolution contre ses plus fervents zélateurs et engager ainsi une grande réflexion sur la domination de l'homme par la force ingouvernable de l'Histoire.
Aussi s'intéresse-t-il à la représentation caustique que le romancier donne de l'imaginaire social indexé à la période crépusculaire du Postmonde, où sévit la fausse culture lénifiante du kitsch hédoniste diffusée par les médias. En partant de cette auscultation de notre contemporanéité, l'auteur de l'ouvrage conclut que l'oeuvre de Milan Kundera, par l'effet de vie littéraire qui s'en dégage, substitue le ré-enchantement de l'homme au sentiment obsidional d'une vie livrée aux forces de la médiation.