Le Prince de Ligne. Le charmeur de l'Europe

Par : Philip Mansel

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  • Nombre de pages340
  • PrésentationBroché
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,5 cm × 2,7 cm
  • ISBN2-262-01914-2
  • EAN9782262019143
  • Date de parution11/04/2002
  • ÉditeurPerrin

Résumé

Paul Valéry l'appelait " le divin prince ", Paul Morand voyait en lui " l'incarnation du XVIIIe siècle ". Né dans les Pays-Bas autrichiens (l'actuelle Belgique), Français de langue, Européen de cœur et d'esprit - il se sentait chez lui aussi bien à Vienne qu'à Paris ou à Saint-Pétersbourg -, Charles-Joseph de Ligne, prince du Saint Empire romain germanique, charma tous ceux qu'il croisa sur son chemin. Il correspondit avec Voltaire, Casanova, Goethe, Mme de Staël. Il réussit l'exploit unique d'être le favori de Marie-Antoinette, de Joseph II, de Frédéric le Grand, du roi de Pologne et de Catherine II. Curieux de tout, s'il goûta les plaisirs du monde auquel il appartenait, il n'en fut pourtant ni la dupe ni le prisonnier. En attestent une innombrable correspondance et ses mémoires, Fragments de l'histoire de ma vie, spirituels, impertinents. Toujours la plume à la main, il sautait d'une capitale à l'autre, guerroyait contre les Turcs, multipliait les aventures galantes, jouait les émissaires secrets pour le compte des Habsbourg, soupait, discourait. Il tenait table ouverte dans sa petite maison de Vienne, pendant les travaux du Congrès, en 1814, quand la mort le surprit.
Paul Valéry l'appelait " le divin prince ", Paul Morand voyait en lui " l'incarnation du XVIIIe siècle ". Né dans les Pays-Bas autrichiens (l'actuelle Belgique), Français de langue, Européen de cœur et d'esprit - il se sentait chez lui aussi bien à Vienne qu'à Paris ou à Saint-Pétersbourg -, Charles-Joseph de Ligne, prince du Saint Empire romain germanique, charma tous ceux qu'il croisa sur son chemin. Il correspondit avec Voltaire, Casanova, Goethe, Mme de Staël. Il réussit l'exploit unique d'être le favori de Marie-Antoinette, de Joseph II, de Frédéric le Grand, du roi de Pologne et de Catherine II. Curieux de tout, s'il goûta les plaisirs du monde auquel il appartenait, il n'en fut pourtant ni la dupe ni le prisonnier. En attestent une innombrable correspondance et ses mémoires, Fragments de l'histoire de ma vie, spirituels, impertinents. Toujours la plume à la main, il sautait d'une capitale à l'autre, guerroyait contre les Turcs, multipliait les aventures galantes, jouait les émissaires secrets pour le compte des Habsbourg, soupait, discourait. Il tenait table ouverte dans sa petite maison de Vienne, pendant les travaux du Congrès, en 1814, quand la mort le surprit.
Louis XVIII
Philip Mansel
Poche
12,00 €