Le journal d'une alliée-née

Par : Anny Filio
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  • Nombre de pages86
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.158 kg
  • Dimensions15,0 cm × 21,0 cm × 0,0 cm
  • ISBN979-10-423-0252-8
  • EAN9791042302528
  • Date de parution01/10/2024
  • ÉditeurVérone éditions

Résumé

"Une petite voix me dit : C'est bon ? Tu as tout gâché. Tu peux pleurer maintenant ! Et maintenant ? Le décor est posé. Un véritable champ de bataille. Regarde autour de toi ! Le Néant, le vide ! Et dans ce chaos, fait écho une petite voix. Toujours cette petite voix qui résonne dans le néant : Mais qu'as-tu fait, inconsciente ? La solitude me prend à bras le coeur". "Je suis perdue. Je suis vaincue.
Et il est ce laps de temps où enfin tu te redresses et ouvres les yeux. Tu as tout anéanti. Tu es alors dans l'attente du moindre signe. L'angoisse te submerge. La raison n'est plus. Tout s'effondre de nouveau. Un signe, svp ! Juste un signe. Après ce tumulte, ne restent que quelques lambeaux de nos amours. Nous nous habituons à ne plus entendre Je t'aime ! . Tous ont été trahis. Nos enfants, nos amours, notre famille.
J'ai fléchi sous le joug de l'alcool. Je me donnais en spectacle. Mes amours, impuissants, m'observaient me détruire".
"Une petite voix me dit : C'est bon ? Tu as tout gâché. Tu peux pleurer maintenant ! Et maintenant ? Le décor est posé. Un véritable champ de bataille. Regarde autour de toi ! Le Néant, le vide ! Et dans ce chaos, fait écho une petite voix. Toujours cette petite voix qui résonne dans le néant : Mais qu'as-tu fait, inconsciente ? La solitude me prend à bras le coeur". "Je suis perdue. Je suis vaincue.
Et il est ce laps de temps où enfin tu te redresses et ouvres les yeux. Tu as tout anéanti. Tu es alors dans l'attente du moindre signe. L'angoisse te submerge. La raison n'est plus. Tout s'effondre de nouveau. Un signe, svp ! Juste un signe. Après ce tumulte, ne restent que quelques lambeaux de nos amours. Nous nous habituons à ne plus entendre Je t'aime ! . Tous ont été trahis. Nos enfants, nos amours, notre famille.
J'ai fléchi sous le joug de l'alcool. Je me donnais en spectacle. Mes amours, impuissants, m'observaient me détruire".