Gaston Leroux naît en 1868. Après des études de droit, il travaille comme avocat puis comme chroniqueur judiciaire avant de devenir grand reporter. Parallèlement, il écrit de nombreux romans policiers teintés de fantastique, tous devenus très populaires, tels Le Mystère de la chambre jaune et Le Parfum de la dame en noir.
Les classiques de la littérature
LE CoeUR CAMBRIOLÉ, L'HOMME QUI A VU LE DIABLE. .
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- Nombre de pages136
- PrésentationBroché
- Poids0.224 kg
- Dimensions17,0 cm × 22,0 cm × 0,8 cm
- ISBN979-10-418-3936-0
- EAN9791041839360
- Date de parution14/09/2023
- ÉditeurCulturea
Résumé
Nos parents nous avaient fiancés dès notre plus jeune âge. Quand j'avais douze ans et qu'elle en avait huit, on disait déjà, autour de nous, que nous formions un couple charmant, et nos mères nous admiraient. Nous aurions voulu nous marier tout de suite, tant nous nous aimions. Nous étions cousins germains et nos familles nous réunissaient pendant les vacances. A cette époque, Cordélia m'avait déjà donné son coeur, son petit coeur de huit ans.
Moi, j'étais un très grand garçon pour mon âge, d'un blond presque roux, très fort, enragé de sport, paresseux à l'étude. La vie au grand air était la seule qui me convînt. J'en avais donné le goût à Cordélia, qui avait plutôt un penchant pour la lecture et les arts. Sa mère était italienne. Mon oncle l'avait épousée au cours d'un voyage d'affaires qu'il avait fait à Turin. A huit ans, Cordélia était déjà bonne musicienne, mais elle nous étonnait surtout par sa facilité à dessiner ou à peindre ce qui la frappait ou l'intéressait.
Pour moi tout ce qui sortait des mains de Cordélia me paraissait un miracle.
Moi, j'étais un très grand garçon pour mon âge, d'un blond presque roux, très fort, enragé de sport, paresseux à l'étude. La vie au grand air était la seule qui me convînt. J'en avais donné le goût à Cordélia, qui avait plutôt un penchant pour la lecture et les arts. Sa mère était italienne. Mon oncle l'avait épousée au cours d'un voyage d'affaires qu'il avait fait à Turin. A huit ans, Cordélia était déjà bonne musicienne, mais elle nous étonnait surtout par sa facilité à dessiner ou à peindre ce qui la frappait ou l'intéressait.
Pour moi tout ce qui sortait des mains de Cordélia me paraissait un miracle.
Nos parents nous avaient fiancés dès notre plus jeune âge. Quand j'avais douze ans et qu'elle en avait huit, on disait déjà, autour de nous, que nous formions un couple charmant, et nos mères nous admiraient. Nous aurions voulu nous marier tout de suite, tant nous nous aimions. Nous étions cousins germains et nos familles nous réunissaient pendant les vacances. A cette époque, Cordélia m'avait déjà donné son coeur, son petit coeur de huit ans.
Moi, j'étais un très grand garçon pour mon âge, d'un blond presque roux, très fort, enragé de sport, paresseux à l'étude. La vie au grand air était la seule qui me convînt. J'en avais donné le goût à Cordélia, qui avait plutôt un penchant pour la lecture et les arts. Sa mère était italienne. Mon oncle l'avait épousée au cours d'un voyage d'affaires qu'il avait fait à Turin. A huit ans, Cordélia était déjà bonne musicienne, mais elle nous étonnait surtout par sa facilité à dessiner ou à peindre ce qui la frappait ou l'intéressait.
Pour moi tout ce qui sortait des mains de Cordélia me paraissait un miracle.
Moi, j'étais un très grand garçon pour mon âge, d'un blond presque roux, très fort, enragé de sport, paresseux à l'étude. La vie au grand air était la seule qui me convînt. J'en avais donné le goût à Cordélia, qui avait plutôt un penchant pour la lecture et les arts. Sa mère était italienne. Mon oncle l'avait épousée au cours d'un voyage d'affaires qu'il avait fait à Turin. A huit ans, Cordélia était déjà bonne musicienne, mais elle nous étonnait surtout par sa facilité à dessiner ou à peindre ce qui la frappait ou l'intéressait.
Pour moi tout ce qui sortait des mains de Cordélia me paraissait un miracle.