Le boeuf, le crabe et les vers de terre. Vu à la télé
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- Nombre de pages84
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.146 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-322-07754-0
- EAN9782322077540
- Date de parution27/05/2016
- ÉditeurBooks on Demand
Résumé
Tout commence un de ces putains d'hivers pluvieux. Un de ceux que ces cons de capitalistes nous concoctent maintenant. Ils t'accusent. S'il n'y a plus de saisons, c'est de ta faute. Te montrent du doigt, te stigmatisent, te culpabilisent, expliquent que ta conduite irresponsable dérègle le climat. Ils dénoncent ta façon de te vautrer dans les plaisirs à effet de serre, de prendre ton pied en pataugeant dans le gaz carbonique, en nageant dans la particule fine...
Juste pour te justifier de nouvelles taxes, faut dire que t'as la mamelle tentante comme vache à lait. Ils assurent que tu ne manges que des aliments de pauvres, des trucs immondes bourrés des pesticides issus de leurs complexes pétro-chimiques, qu'eux même, à les vomir, ils ne s'y risqueraient pas, de la bouffe qui libèrent du méthane à la digestion, que t'as le fondement plus productif qu'une cuve à méthanisation.
Que contrairement à toi et à ta putain de purée de synthèse accompagnée de knackis à peau plastifiée, leur caviar "Ossetra" de chez Petrossian ne les contraint pas à la flatulence des vulgaires. Ne pètent pas plus haut que leur cul, ni à sa hauteur, s'en abstiennent totalement.
Juste pour te justifier de nouvelles taxes, faut dire que t'as la mamelle tentante comme vache à lait. Ils assurent que tu ne manges que des aliments de pauvres, des trucs immondes bourrés des pesticides issus de leurs complexes pétro-chimiques, qu'eux même, à les vomir, ils ne s'y risqueraient pas, de la bouffe qui libèrent du méthane à la digestion, que t'as le fondement plus productif qu'une cuve à méthanisation.
Que contrairement à toi et à ta putain de purée de synthèse accompagnée de knackis à peau plastifiée, leur caviar "Ossetra" de chez Petrossian ne les contraint pas à la flatulence des vulgaires. Ne pètent pas plus haut que leur cul, ni à sa hauteur, s'en abstiennent totalement.
Tout commence un de ces putains d'hivers pluvieux. Un de ceux que ces cons de capitalistes nous concoctent maintenant. Ils t'accusent. S'il n'y a plus de saisons, c'est de ta faute. Te montrent du doigt, te stigmatisent, te culpabilisent, expliquent que ta conduite irresponsable dérègle le climat. Ils dénoncent ta façon de te vautrer dans les plaisirs à effet de serre, de prendre ton pied en pataugeant dans le gaz carbonique, en nageant dans la particule fine...
Juste pour te justifier de nouvelles taxes, faut dire que t'as la mamelle tentante comme vache à lait. Ils assurent que tu ne manges que des aliments de pauvres, des trucs immondes bourrés des pesticides issus de leurs complexes pétro-chimiques, qu'eux même, à les vomir, ils ne s'y risqueraient pas, de la bouffe qui libèrent du méthane à la digestion, que t'as le fondement plus productif qu'une cuve à méthanisation.
Que contrairement à toi et à ta putain de purée de synthèse accompagnée de knackis à peau plastifiée, leur caviar "Ossetra" de chez Petrossian ne les contraint pas à la flatulence des vulgaires. Ne pètent pas plus haut que leur cul, ni à sa hauteur, s'en abstiennent totalement.
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