Une artiste des beaux quartiers de Paris et un migrant bouddhiste dans la misère mais plein de rêves se rencontrent. Incompréhension, brutalité, dignité, délicatesse : la vie rêvée devient une douce métaphore de notre époque, pleine de mots, d'images et de secrets. La vie rêvée de Chotan B est le récit jour après jour de la rencontre à Paris entre un immigré du Bangladesh en quête d'une existence officielle et une artiste qui lui enseigne le français et l'accompagne dans ses démarches administratives.
Aucun voyeurisme ni misérabilisme dans ce quasi journal d'une relation hors norme, pour ne pas d'un dire d'un malentendu : Christine Robion décrit une délicate rencontre qui n'a pas lieu, comme si les protagonistes la rêvaient tout en préférant y renoncer... Métaphore de la situation actuelle de l'Europe qui ne sait comment accueillir les milliers de réfugiés alors qu'elle sait bien les idéaux qui l'animent ? Pas seulement, car l'auteur se place surtout au niveau individuel, confronte les cultures des uns et des autres et dévoile (à peine) les parcours de vie (difficiles, indicibles, secrets...) de ceux qui fuient leur pays.
Une histoire à la fois intime, généreuse et réelle, peu racontée dans les médias.
Une artiste des beaux quartiers de Paris et un migrant bouddhiste dans la misère mais plein de rêves se rencontrent. Incompréhension, brutalité, dignité, délicatesse : la vie rêvée devient une douce métaphore de notre époque, pleine de mots, d'images et de secrets. La vie rêvée de Chotan B est le récit jour après jour de la rencontre à Paris entre un immigré du Bangladesh en quête d'une existence officielle et une artiste qui lui enseigne le français et l'accompagne dans ses démarches administratives.
Aucun voyeurisme ni misérabilisme dans ce quasi journal d'une relation hors norme, pour ne pas d'un dire d'un malentendu : Christine Robion décrit une délicate rencontre qui n'a pas lieu, comme si les protagonistes la rêvaient tout en préférant y renoncer... Métaphore de la situation actuelle de l'Europe qui ne sait comment accueillir les milliers de réfugiés alors qu'elle sait bien les idéaux qui l'animent ? Pas seulement, car l'auteur se place surtout au niveau individuel, confronte les cultures des uns et des autres et dévoile (à peine) les parcours de vie (difficiles, indicibles, secrets...) de ceux qui fuient leur pays.
Une histoire à la fois intime, généreuse et réelle, peu racontée dans les médias.