La tranchée des bagnards. Une approche économique sur la construction du canal de Nantes à Brest, à Glomel
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- Nombre de pages82
- PrésentationBroché
- Poids0.1906 kg
- Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-334-11245-1
- EAN9782334112451
- Date de parution04/11/2016
- CollectionClassique
- ÉditeurEdilivre
Résumé
Afin de joindre le Blavet à l'Aulne, à Glomel, dans les Côtes-d'Armor, les ingénieurs du canal de Nantes à Brest ont dû faire face à un défi aussi ambitieux que difficile et pénible : creuser une tranchée de 3, 2 kilomètres de long sur 23 mètres de haut et 10 mètres de largeur. Un chantier colossal qui allait dégager 20 millions de m3 de terre. A cette époque, la Bretagne étant relativement isolée du monde, les travaux se développaient dans des conditions géographiques, humaines et de salubrité très difficiles à supporter.
Quel a été le coût ? Dans les chantiers publics, l'Etat utilisait des prisonniers militaires, une main-d'oeuvre inactive et oisive qui pouvait être rentabilisée dans des camps appelés "colonies forcées" .
Quel a été le coût ? Dans les chantiers publics, l'Etat utilisait des prisonniers militaires, une main-d'oeuvre inactive et oisive qui pouvait être rentabilisée dans des camps appelés "colonies forcées" .
Afin de joindre le Blavet à l'Aulne, à Glomel, dans les Côtes-d'Armor, les ingénieurs du canal de Nantes à Brest ont dû faire face à un défi aussi ambitieux que difficile et pénible : creuser une tranchée de 3, 2 kilomètres de long sur 23 mètres de haut et 10 mètres de largeur. Un chantier colossal qui allait dégager 20 millions de m3 de terre. A cette époque, la Bretagne étant relativement isolée du monde, les travaux se développaient dans des conditions géographiques, humaines et de salubrité très difficiles à supporter.
Quel a été le coût ? Dans les chantiers publics, l'Etat utilisait des prisonniers militaires, une main-d'oeuvre inactive et oisive qui pouvait être rentabilisée dans des camps appelés "colonies forcées" .
Quel a été le coût ? Dans les chantiers publics, l'Etat utilisait des prisonniers militaires, une main-d'oeuvre inactive et oisive qui pouvait être rentabilisée dans des camps appelés "colonies forcées" .