Man Booker Prize
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages382
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.54 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,9 cm
  • ISBN978-2-7021-4247-9
  • EAN9782702142479
  • Date de parution17/08/2011
  • ÉditeurCalmann-Lévy
  • TraducteurPascal Loubet

Résumé

Julian Treslove et Sam Finkler se connaissent depuis l’enfance, Libor Sevcik est leur ancien prof d’histoire. Au fil des ans, la vie les a séparés sans qu’ils se perdent tout à fait de vue. Finkler est devenu un philosophe très médiatique, Libor a fait fortune grâce à de sulfureuses biographies de stars d’Hollywood et Treslove, quant à lui, après avoir été producteur d’émissions culturelles à la BBC et directeur de festivals artistiques, est désormais employé dans une société de sosies.
La mort des épouses de Finkler et de Libor va les réunir de nouveau ; Treslove, veuf honoraire, passe quelques heures délicieusement pénibles avec ses deux amis, à se rappeler le passé. Or, ce soir-là, en rentrant chez lui le cœur lourd, Julian Treslove est victime d’une banale agression qu’il passera des jours à décortiquer. Peu à peu, une certitude s’impose à lui : on l’a pris pour un juif. C’est impossible, forcément un malentendu.
Lui, un juif ? Quelle idée ! Et s’il l’était vraiment ?   Ce roman brillant, irrévérencieux, hilarant, qui évoquera aussi bien Lewis Carroll, Edgar Hilsenrath, et, oui, Philip Roth, aborde de front des questions polémiques, liées au judaïsme, au conflit israélo-palestinien et à l’antisémitisme contemporain. Mais c’est avant tout l’histoire d’une belle amitié, nourrie par la rivalité, les problématiques identitaires et les discussions enflammées.
Julian Treslove et Sam Finkler se connaissent depuis l’enfance, Libor Sevcik est leur ancien prof d’histoire. Au fil des ans, la vie les a séparés sans qu’ils se perdent tout à fait de vue. Finkler est devenu un philosophe très médiatique, Libor a fait fortune grâce à de sulfureuses biographies de stars d’Hollywood et Treslove, quant à lui, après avoir été producteur d’émissions culturelles à la BBC et directeur de festivals artistiques, est désormais employé dans une société de sosies.
La mort des épouses de Finkler et de Libor va les réunir de nouveau ; Treslove, veuf honoraire, passe quelques heures délicieusement pénibles avec ses deux amis, à se rappeler le passé. Or, ce soir-là, en rentrant chez lui le cœur lourd, Julian Treslove est victime d’une banale agression qu’il passera des jours à décortiquer. Peu à peu, une certitude s’impose à lui : on l’a pris pour un juif. C’est impossible, forcément un malentendu.
Lui, un juif ? Quelle idée ! Et s’il l’était vraiment ?   Ce roman brillant, irrévérencieux, hilarant, qui évoquera aussi bien Lewis Carroll, Edgar Hilsenrath, et, oui, Philip Roth, aborde de front des questions polémiques, liées au judaïsme, au conflit israélo-palestinien et à l’antisémitisme contemporain. Mais c’est avant tout l’histoire d’une belle amitié, nourrie par la rivalité, les problématiques identitaires et les discussions enflammées.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Man Booker Prize 2010 !
En août 2011, peu avant la publication française de La question Finkler, j’avais eu l’occasion d’assister à une rencontre organisée par l’éditeur où l’auteur, Howard Jacobson, présentait lui-même son livre. A l’époque, j’avais été séduit par le discours ironique de l’écrivain ainsi que par le sujet de son roman. Je m’étais imaginé un livre caustique, irrévérencieux, faisant voler en éclat le politiquement correct avec un style mordant pimenté d’humour noir... Las ! En refermant le livre, j’ai un peu l’impression d’avoir été trompé sur la marchandise. Certes, sous des allures un peu désinvoltes, Jacobson aborde l’air de rien des problématiques qui font mouche et met le doigt là où ça fait mal. Hélas, l’écriture est bien trop sage et policée pour en faire un roman vibrant, un véritable pavé dans la mare susceptible de transporter le lecteur. Je trouve le roman pas assez grinçant, pas assez piquant ; il se contente de nous divertir, comme du poil à gratter inoffensif, alors qu’il pourrait faire tellement plus. Mais peut-être, comme Fanny le souligne, est-ce un simple problème de traduction ? Je n’ai malheureusement pas la capacité de lire en anglais... Il me semble aussi que le livre pèche dans sa première partie par un manque de rythme : la narration n’est pas assez soutenue, les personnages pourtant drôles rabâchent sans cesse les mêmes opinions et le lecteur a un peu l’impression de tourner en rond, il s’ennuie un peu. Finalement, les passages les plus convaincants ne sont pas ceux qui abordent la brûlante question Finkler (c’est vrai que cela stigmatise moins !) mais ceux consacrés au personnage de Libor et à ses tentatives impossibles de faire son deuil. Là, l’écrivain retrouve une émotion nécessaire qui lui convient mieux et arrive à nous toucher... Dommage : ce n’était pourtant pas le sujet principal de son roman !
En août 2011, peu avant la publication française de La question Finkler, j’avais eu l’occasion d’assister à une rencontre organisée par l’éditeur où l’auteur, Howard Jacobson, présentait lui-même son livre. A l’époque, j’avais été séduit par le discours ironique de l’écrivain ainsi que par le sujet de son roman. Je m’étais imaginé un livre caustique, irrévérencieux, faisant voler en éclat le politiquement correct avec un style mordant pimenté d’humour noir... Las ! En refermant le livre, j’ai un peu l’impression d’avoir été trompé sur la marchandise. Certes, sous des allures un peu désinvoltes, Jacobson aborde l’air de rien des problématiques qui font mouche et met le doigt là où ça fait mal. Hélas, l’écriture est bien trop sage et policée pour en faire un roman vibrant, un véritable pavé dans la mare susceptible de transporter le lecteur. Je trouve le roman pas assez grinçant, pas assez piquant ; il se contente de nous divertir, comme du poil à gratter inoffensif, alors qu’il pourrait faire tellement plus. Mais peut-être, comme Fanny le souligne, est-ce un simple problème de traduction ? Je n’ai malheureusement pas la capacité de lire en anglais... Il me semble aussi que le livre pèche dans sa première partie par un manque de rythme : la narration n’est pas assez soutenue, les personnages pourtant drôles rabâchent sans cesse les mêmes opinions et le lecteur a un peu l’impression de tourner en rond, il s’ennuie un peu. Finalement, les passages les plus convaincants ne sont pas ceux qui abordent la brûlante question Finkler (c’est vrai que cela stigmatise moins !) mais ceux consacrés au personnage de Libor et à ses tentatives impossibles de faire son deuil. Là, l’écrivain retrouve une émotion nécessaire qui lui convient mieux et arrive à nous toucher... Dommage : ce n’était pourtant pas le sujet principal de son roman !
  • Drôle
  • Ironique
  • XXIe siècle
  • Londres
  • Angleterre
  • Ennuyant
  • Julian Treslove
  • Samuel Finkler
  • Libor Sevcik
  • Hephzibah
  • Tyler
  • Malkie
  • Emmy Oppenstein
Difficile de devenir juif quand on ne l'est pas de naissance...
Il est toujours plus facile d'ironiser sur les travers d'une communauté quand on en fait soi même partie, c'est bien connu, alors dans cet ouvrage Howard Jacobson ne s'en prive pas... mais sous la forme désinvolte, ironique, pointent les vrais problèmes liés aux extrémismes de tout bord. On rit beaucoup mais on s'inquiète aussi beaucoup.
Il est toujours plus facile d'ironiser sur les travers d'une communauté quand on en fait soi même partie, c'est bien connu, alors dans cet ouvrage Howard Jacobson ne s'en prive pas... mais sous la forme désinvolte, ironique, pointent les vrais problèmes liés aux extrémismes de tout bord. On rit beaucoup mais on s'inquiète aussi beaucoup.
  • Drôle
  • Inattendu
  • Ironique
FabienDecitre Part-Dieu
1/5
Pas glop
Les personnages sont bien plantés, c’est pleins d’humour, mais au bout d’un certain temps cela tourne un peu en rond et on s’emmerde un brin…
Les personnages sont bien plantés, c’est pleins d’humour, mais au bout d’un certain temps cela tourne un peu en rond et on s’emmerde un brin…

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Le soir de ses retrouvailles avec Sam Finkler, son ami d'enfance, et Libor Sevick, son ancien professeur, Julian Treslove est victime d'une agression antisémite, du moins le croit-il. Et si cette judéité aussi nouvelle qu'infondée était vraie ? Howard Jacobson dresse le portrait de ces trois personnages vivant dans un malentendu permanent et à travers eux, aborde des sujets graves : la vie, la mort, la religion et la place que l'on occupe dans ce monde. L'auteur illustre à merveille la phrase de Woody Allen, « l'humour, c'est le tragique plus le temps ! ». Ce roman, cynique et humoristique, ne vous laissera pas indifférent.
Le soir de ses retrouvailles avec Sam Finkler, son ami d'enfance, et Libor Sevick, son ancien professeur, Julian Treslove est victime d'une agression antisémite, du moins le croit-il. Et si cette judéité aussi nouvelle qu'infondée était vraie ? Howard Jacobson dresse le portrait de ces trois personnages vivant dans un malentendu permanent et à travers eux, aborde des sujets graves : la vie, la mort, la religion et la place que l'on occupe dans ce monde. L'auteur illustre à merveille la phrase de Woody Allen, « l'humour, c'est le tragique plus le temps ! ». Ce roman, cynique et humoristique, ne vous laissera pas indifférent.
En version originale
Un bon livre...en anglais ! la traduction a du mal à rendre l'ironie grinçante de l'auteur. Dommage car l'auteur est à la littérature ce que Woody Allen est au cinéma.
Un bon livre...en anglais ! la traduction a du mal à rendre l'ironie grinçante de l'auteur. Dommage car l'auteur est à la littérature ce que Woody Allen est au cinéma.
Qui suis-je ?
Etourdissant roman, par son érudition, son humour et ses pistes de réflexion sur la question... Finkler. Jacobson nous parle d'amitié, d'amour, d'identité, de religion et de croyance avec maestria sans jamais nous lasser et l'air de rien, en nous divertissant.
Etourdissant roman, par son érudition, son humour et ses pistes de réflexion sur la question... Finkler. Jacobson nous parle d'amitié, d'amour, d'identité, de religion et de croyance avec maestria sans jamais nous lasser et l'air de rien, en nous divertissant.
  • Drôle
  • Ironique
What Will Survive of Us
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
J
Howard Jacobson
4,38 €
Live a Little
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
Pussy
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
J: A Novel
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
Redback
Howard Jacobson
E-book
10,99 €
Who's Sorry Now
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
No More Mr Nice Guy
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
Coming From Behind
Howard Jacobson
E-book
9,49 €
Peeping Tom
Howard Jacobson
E-book
9,49 €
Kalooki Nights
Howard Jacobson
E-book
8,49 €
The Mighty Walzer
Howard Jacobson
E-book
9,49 €
The Act of Love
Howard Jacobson
E-book
8,99 €
The Making of Henry
Howard Jacobson
E-book
8,99 €