La place du corps dans la culture occidentale

Par : Jean-François Pépin, Florence Braunstein

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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions15,1 cm × 21,8 cm × 1,7 cm
  • ISBN2-13-050037-4
  • EAN9782130500377
  • Date de parution09/09/1999
  • Collectionpratiques corporelles
  • ÉditeurPUF

Résumé

Si pendant longtemps, réfléchir sur la place du corps dans la culture occidentale revenait à constater " sa place en tant que silence ", à la différence de l'Orient ou de l'Extrême-Orient, aujourd'hui, force est de constater qu'il a toujours eu un rôle de vecteur social, psychologique, culturel, religieux. II a toujours été dans notre vie quotidienne un moyen de communication, d'échange, par l'usage d'un certain nombre de signes, liés au langage, aux gestes, aux vêtements, aux institutions, aux perceptions, que nous avons eu de la réalité.
Ne négligeons pas, non plus, son importance dans les arts plastiques, dans le sport, dans les sciences, le rendant, en fait, omniprésent dans notre culture. Alors, comment rendre compte de la multitude de facettes qu'il a eues au sein de notre histoire et montrer, contrairement à ce qu'écrivait Leibniz, " que tout ce qui se fait dans le corps de l'homme n'est pas aussi mécanique que ce qui se fait dans une montre ".
Comment ne pas le limiter à quelques thèmes aussi réducteurs que celui de l'opposition classique, matière-esprit, eros-thanatos, bref ne le définir que comme matière à problèmes ? Comment montrer que l'homme a toujours été le corps qui pense, le corps qu'il pense, le corps qu'il est, le corps qu'il a ? Autrement dit, comment montrer que le corps pouvait avoir une histoire autre que celle que l'Histoire lui imposait.
Si pendant longtemps, réfléchir sur la place du corps dans la culture occidentale revenait à constater " sa place en tant que silence ", à la différence de l'Orient ou de l'Extrême-Orient, aujourd'hui, force est de constater qu'il a toujours eu un rôle de vecteur social, psychologique, culturel, religieux. II a toujours été dans notre vie quotidienne un moyen de communication, d'échange, par l'usage d'un certain nombre de signes, liés au langage, aux gestes, aux vêtements, aux institutions, aux perceptions, que nous avons eu de la réalité.
Ne négligeons pas, non plus, son importance dans les arts plastiques, dans le sport, dans les sciences, le rendant, en fait, omniprésent dans notre culture. Alors, comment rendre compte de la multitude de facettes qu'il a eues au sein de notre histoire et montrer, contrairement à ce qu'écrivait Leibniz, " que tout ce qui se fait dans le corps de l'homme n'est pas aussi mécanique que ce qui se fait dans une montre ".
Comment ne pas le limiter à quelques thèmes aussi réducteurs que celui de l'opposition classique, matière-esprit, eros-thanatos, bref ne le définir que comme matière à problèmes ? Comment montrer que l'homme a toujours été le corps qui pense, le corps qu'il pense, le corps qu'il est, le corps qu'il a ? Autrement dit, comment montrer que le corps pouvait avoir une histoire autre que celle que l'Histoire lui imposait.
La culture générale pour les nuls
Florence Braunstein, Jean-François Pépin, Ivan Gouillon, Aline Chetail
Audiobook
41,99 €