La femme arabe dans Le Livre des chants
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- Nombre de pages242
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.32 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,7 cm
- ISBN2-213-62003-2
- EAN9782213620039
- Date de parution26/05/2004
- CollectionBibliothèque Maktaba
- ÉditeurFayard
- TraducteurMohamed Mestiri
- PréfacierSoumaya Mestiri
Résumé
Le Livre des chants témoigne de l'importance du statut de la femme arabe au Xe siècle. Esclave-chanteuse mutine comme Mahbuha, consciente de son pouvoir de séduction et à même d'avoir l'ascendant sur son maître, le Calife en personne ; femme de caractère aux moeurs libres et au destin tragique, telle Zarga al-Yamama, homosexuelle dont les yeux perçants étaient capables de voir à grande distance ; femme de pouvoir comme az-Zabba, qui fit prisonnier le roi d'Irak et but son sang, ou comme Sajall, mystificatrice, qui prétendit avoir reçu la révélation divine et s'autoproclama prophétesse ; femme libertine aux multiples amants comme Uhevda et Fadl, ou femme dévouée pleurant debout son mari décédé, signe qu'elle lui sera fidèle jusqu'à la tombe.
Vertueuse, poétesse, musicienne et lettrée, la femme que nous dépeint Abu al-Faraj est étonnamment moderne, réservant bien des surprises au lecteur occidental et lui offrant les moyens de remiser nombre de préjugés.
Vertueuse, poétesse, musicienne et lettrée, la femme que nous dépeint Abu al-Faraj est étonnamment moderne, réservant bien des surprises au lecteur occidental et lui offrant les moyens de remiser nombre de préjugés.
Le Livre des chants témoigne de l'importance du statut de la femme arabe au Xe siècle. Esclave-chanteuse mutine comme Mahbuha, consciente de son pouvoir de séduction et à même d'avoir l'ascendant sur son maître, le Calife en personne ; femme de caractère aux moeurs libres et au destin tragique, telle Zarga al-Yamama, homosexuelle dont les yeux perçants étaient capables de voir à grande distance ; femme de pouvoir comme az-Zabba, qui fit prisonnier le roi d'Irak et but son sang, ou comme Sajall, mystificatrice, qui prétendit avoir reçu la révélation divine et s'autoproclama prophétesse ; femme libertine aux multiples amants comme Uhevda et Fadl, ou femme dévouée pleurant debout son mari décédé, signe qu'elle lui sera fidèle jusqu'à la tombe.
Vertueuse, poétesse, musicienne et lettrée, la femme que nous dépeint Abu al-Faraj est étonnamment moderne, réservant bien des surprises au lecteur occidental et lui offrant les moyens de remiser nombre de préjugés.
Vertueuse, poétesse, musicienne et lettrée, la femme que nous dépeint Abu al-Faraj est étonnamment moderne, réservant bien des surprises au lecteur occidental et lui offrant les moyens de remiser nombre de préjugés.