Ésotérisme et Paranormal
La déesse syrienne. De Dea Syria
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- Nombre de pages82
- PrésentationBroché
- Poids0.119 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,4 cm
- ISBN978-2-38508-086-0
- EAN9782385080860
- Date de parution23/08/2022
- ÉditeurCulturea
Résumé
Lucien nous fait pénétrer dans le temple de la Junon assyrienne. Au coeur de ses rites étranges : prostitution sacrée, vénération du phallus, abstinence de poisson, castrations volontaires. Il rapporte consciencieusement les mythes explicatifs de la fondation du temple, attribuée tantôt aux dieux (Dionysos), tantôt aux humains survivants d'une humanité précédente (Deucalion), tantôt à des souveraines réelles et mythiques à la fois (Stratonice et Sémiramis).
Le lien de certaines cérémonies avec les traditions du déluge surprend autant l'auteur que le lecteur. Lucien de Samosate, Assyrien hellénisé, ne construit pas ici une fable : il a connu ce sanctuaire prodigieux - et prodigieusement riche -, alors qu'il n'était qu'un enfant et que, suivant la tradition, la protection de la déesse avait été demandée en son nom : "Il y a encore dans le temple mes cheveux et mon nom".
Le lien de certaines cérémonies avec les traditions du déluge surprend autant l'auteur que le lecteur. Lucien de Samosate, Assyrien hellénisé, ne construit pas ici une fable : il a connu ce sanctuaire prodigieux - et prodigieusement riche -, alors qu'il n'était qu'un enfant et que, suivant la tradition, la protection de la déesse avait été demandée en son nom : "Il y a encore dans le temple mes cheveux et mon nom".
Lucien nous fait pénétrer dans le temple de la Junon assyrienne. Au coeur de ses rites étranges : prostitution sacrée, vénération du phallus, abstinence de poisson, castrations volontaires. Il rapporte consciencieusement les mythes explicatifs de la fondation du temple, attribuée tantôt aux dieux (Dionysos), tantôt aux humains survivants d'une humanité précédente (Deucalion), tantôt à des souveraines réelles et mythiques à la fois (Stratonice et Sémiramis).
Le lien de certaines cérémonies avec les traditions du déluge surprend autant l'auteur que le lecteur. Lucien de Samosate, Assyrien hellénisé, ne construit pas ici une fable : il a connu ce sanctuaire prodigieux - et prodigieusement riche -, alors qu'il n'était qu'un enfant et que, suivant la tradition, la protection de la déesse avait été demandée en son nom : "Il y a encore dans le temple mes cheveux et mon nom".
Le lien de certaines cérémonies avec les traditions du déluge surprend autant l'auteur que le lecteur. Lucien de Samosate, Assyrien hellénisé, ne construit pas ici une fable : il a connu ce sanctuaire prodigieux - et prodigieusement riche -, alors qu'il n'était qu'un enfant et que, suivant la tradition, la protection de la déesse avait été demandée en son nom : "Il y a encore dans le temple mes cheveux et mon nom".