L'usage des ambiances. Une épreuve sensible des situations

Par : Didier Tallagrand, Jean-Paul Thibaud, Nicolas Tixier
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Nombre de pages495
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.83 kg
  • Dimensions15,4 cm × 23,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN979-10-370-0623-3
  • EAN9791037006233
  • Date de parution16/06/2021
  • CollectionLes colloques de Cerisy
  • ÉditeurHermann
  • Directeur de publicationRyma Hadbi

Résumé

Les ambiances et les atmosphères sensibles se prêtent à une grande diversité d'usages, que ce soit dans le domaine de l'art, de l'urbain ou des sciences sociales. Comment les ambiances contribuent-elles à mettre les situations ordinaires à l'épreuve du sensible ? En quoi ouvrent-elles de nouvelles pistes en matière de pratique artistique, d'expérimentation méthodologique ou d'exploration théorique ? Qu'en est-il d'une socio-esthétique située, attentive aux percepts et aux affects qui imprègnent nos milieux de vie et infusent les sensibilités contemporaines ? De telles questions ont traversé un colloque organisé à Cerisy (2018) selon une triple exigence : d'une part, une attention particulière était portée aux échanges, apports réciproques et questionnements communs entre le monde de l'art et celui des sciences sociales ; d'autre part, il a s'agit d'ouvrir un dialogue inédit avec la pensée anglo-saxonne en la matière, mettant en résonance et en discussion l'approche des ambiances et celle des atmosphères ; enfin, l'usage des ambiances a été passé aussi bien au filtre des enquêtes et des théories qu'à celui des pratiques effectives et des expériences situées.
Les ambiances et les atmosphères sensibles se prêtent à une grande diversité d'usages, que ce soit dans le domaine de l'art, de l'urbain ou des sciences sociales. Comment les ambiances contribuent-elles à mettre les situations ordinaires à l'épreuve du sensible ? En quoi ouvrent-elles de nouvelles pistes en matière de pratique artistique, d'expérimentation méthodologique ou d'exploration théorique ? Qu'en est-il d'une socio-esthétique située, attentive aux percepts et aux affects qui imprègnent nos milieux de vie et infusent les sensibilités contemporaines ? De telles questions ont traversé un colloque organisé à Cerisy (2018) selon une triple exigence : d'une part, une attention particulière était portée aux échanges, apports réciproques et questionnements communs entre le monde de l'art et celui des sciences sociales ; d'autre part, il a s'agit d'ouvrir un dialogue inédit avec la pensée anglo-saxonne en la matière, mettant en résonance et en discussion l'approche des ambiances et celle des atmosphères ; enfin, l'usage des ambiances a été passé aussi bien au filtre des enquêtes et des théories qu'à celui des pratiques effectives et des expériences situées.