L'Or de la terre promise
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- Nombre de pages456
- FormatGrand Format
- Poids0.498 kg
- Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 0,0 cm
- ISBN2-246-16072-3
- EAN9782246160724
- Date de parution01/06/1994
- ÉditeurGrasset
Résumé
Voici l'un des plus grands succès de toute l'histoire de la littérature américaine. On a pleuré au Nouveau Monde à lire l'histoire de David Schearl, petit garçon débarqué à New York avec ses parents, juifs d'Europe centrale, et plongé dans la vie sinistre des bas quartiers de la métropole. Protégé par sa mère, dont la figure inoubliable enveloppe de tendresse et de générosité ce roman cruel, le petit David n'en fait pas moins l'apprentissage de la misère, de la méchanceté et de la sottise, entre un père violent, une tante vulgaire, un rabbin pitoyable, des camarades obsédés par le sexe.
Loin d'être la démonstration d'une idée politique ou le procès du paupérisme, {l'Or de la terre promise} est le cauchemar éveillé d'un jeune immigrant juif, c'est-à-dire un roman qui allie, selon les mots du critique américain Irving Howe, le réalisme le plus froid à la fantasmagorie la plus débridée. Ce livre, publié aux Etats-Unis en 1938, fut traduit en France aux Editions Grasset en 1968.
Loin d'être la démonstration d'une idée politique ou le procès du paupérisme, {l'Or de la terre promise} est le cauchemar éveillé d'un jeune immigrant juif, c'est-à-dire un roman qui allie, selon les mots du critique américain Irving Howe, le réalisme le plus froid à la fantasmagorie la plus débridée. Ce livre, publié aux Etats-Unis en 1938, fut traduit en France aux Editions Grasset en 1968.
Voici l'un des plus grands succès de toute l'histoire de la littérature américaine. On a pleuré au Nouveau Monde à lire l'histoire de David Schearl, petit garçon débarqué à New York avec ses parents, juifs d'Europe centrale, et plongé dans la vie sinistre des bas quartiers de la métropole. Protégé par sa mère, dont la figure inoubliable enveloppe de tendresse et de générosité ce roman cruel, le petit David n'en fait pas moins l'apprentissage de la misère, de la méchanceté et de la sottise, entre un père violent, une tante vulgaire, un rabbin pitoyable, des camarades obsédés par le sexe.
Loin d'être la démonstration d'une idée politique ou le procès du paupérisme, {l'Or de la terre promise} est le cauchemar éveillé d'un jeune immigrant juif, c'est-à-dire un roman qui allie, selon les mots du critique américain Irving Howe, le réalisme le plus froid à la fantasmagorie la plus débridée. Ce livre, publié aux Etats-Unis en 1938, fut traduit en France aux Editions Grasset en 1968.
Loin d'être la démonstration d'une idée politique ou le procès du paupérisme, {l'Or de la terre promise} est le cauchemar éveillé d'un jeune immigrant juif, c'est-à-dire un roman qui allie, selon les mots du critique américain Irving Howe, le réalisme le plus froid à la fantasmagorie la plus débridée. Ce livre, publié aux Etats-Unis en 1938, fut traduit en France aux Editions Grasset en 1968.















