L'histoire des moyens de communication en Nouvelle-Calédonie

Par : Frédéric Angleviel
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  • Nombre de pages132
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.164 kg
  • Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-414-52394-8
  • EAN9782414523948
  • Date de parution25/03/2021
  • CollectionGéographie/environnement
  • ÉditeurEdilivre

Résumé

La Nouvelle-Calédonie est un archipel excentré et isolé au bout de l'arc mélanésien, aux antipodes de l'Europe. Environ mille ans avant notre ère, des Austronésiens colonisent cette bande de terre grâce à l'utilisation de pirogues hauturières. Deux mille ans plus tard, une deuxième vague de peuplement vient diversifier et enrichir le peuplement de l'archipel néo-calédonien. Pirogues et sentiers sont alors peu à peu remplacés par des voiliers et des pistes, puis des routes empierrées et finalement bitumées.
L'histoire des moyens de communication s'emballe avec les navires à vapeur, ensuite les véhicules à moteur, terrestres puis maritimes et, enfin, aériens. La Nouvelle-Calédonie peut ainsi s'insérer dans la mondialisation en marche et elle possédera même un temps une route à péage (1980-2013). Grâce aux ressources minières (nickel) et à la politique généreuse de continuité territoriale de l'Etat français, la Nouvelle-Calédonie participe désormais de l'économie postindustrielle, le financement des moyens de communication étant pris en charge par des collectivités provinciales décentralisées.
La Nouvelle-Calédonie est un archipel excentré et isolé au bout de l'arc mélanésien, aux antipodes de l'Europe. Environ mille ans avant notre ère, des Austronésiens colonisent cette bande de terre grâce à l'utilisation de pirogues hauturières. Deux mille ans plus tard, une deuxième vague de peuplement vient diversifier et enrichir le peuplement de l'archipel néo-calédonien. Pirogues et sentiers sont alors peu à peu remplacés par des voiliers et des pistes, puis des routes empierrées et finalement bitumées.
L'histoire des moyens de communication s'emballe avec les navires à vapeur, ensuite les véhicules à moteur, terrestres puis maritimes et, enfin, aériens. La Nouvelle-Calédonie peut ainsi s'insérer dans la mondialisation en marche et elle possédera même un temps une route à péage (1980-2013). Grâce aux ressources minières (nickel) et à la politique généreuse de continuité territoriale de l'Etat français, la Nouvelle-Calédonie participe désormais de l'économie postindustrielle, le financement des moyens de communication étant pris en charge par des collectivités provinciales décentralisées.