L'épreuve de la limite.. Derrida, Henry, Levinas et la phénoménologie

Par : François-David Sebbah

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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • Poids0.445 kg
  • Dimensions15,1 cm × 21,7 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-13-051419-7
  • EAN9782130514190
  • Date de parution27/01/2001
  • Collectionbibliotheque college philo
  • ÉditeurPUF

Résumé

Ce livre trouve sinon son origine, du moins son impulsion, dans une rencontre avec des textes : ceux d'Emmanuel Levinas, de Michel Henry et de Jacques Derrida. Ces textes ne confrontent-ils pas leur lecteur à une pratique excessive de la méthode phénoménologique ? N'a-t-on pas affaire à une phénoménologie pour ainsi dure victime d'un emballement parce que son souci de l'originaire la mènerait inéluctablement à se porter vers ce qui excède le champ de l'apparaître ? Une phénoménologie caractérisée par une surenchère à l'originaire ? S'intéresser à la pratique de l'excès, c'est s'intéresser à la pratique de la limite, la limite dans la transgression de laquelle l'excès est ce qu'il est.
En l'occurrence, lorsqu'il s'agit de phénoménologie, cette limite est celle du domaine de ce qui apparaît n tant qu'il apparaît, de ce qui se donne. Aussi le questionnement informe-t-il l'ensemble de la lecture ici proposée : que peut-on attendre, en phénoménologie, de la pratique de l'excès ? Peut-on convertir cette violence en fécondité ? Qu'en est-il, en général, d'un bon usage de la limite et de l'excès en phénoménologie ? Questionnement qui ne se laissera jamais séparer d'une autre interrogation : e, l'épreuve de la limite, n'est-ce pas toujours une subjectivité qui s'éprouve ?
Ce livre trouve sinon son origine, du moins son impulsion, dans une rencontre avec des textes : ceux d'Emmanuel Levinas, de Michel Henry et de Jacques Derrida. Ces textes ne confrontent-ils pas leur lecteur à une pratique excessive de la méthode phénoménologique ? N'a-t-on pas affaire à une phénoménologie pour ainsi dure victime d'un emballement parce que son souci de l'originaire la mènerait inéluctablement à se porter vers ce qui excède le champ de l'apparaître ? Une phénoménologie caractérisée par une surenchère à l'originaire ? S'intéresser à la pratique de l'excès, c'est s'intéresser à la pratique de la limite, la limite dans la transgression de laquelle l'excès est ce qu'il est.
En l'occurrence, lorsqu'il s'agit de phénoménologie, cette limite est celle du domaine de ce qui apparaît n tant qu'il apparaît, de ce qui se donne. Aussi le questionnement informe-t-il l'ensemble de la lecture ici proposée : que peut-on attendre, en phénoménologie, de la pratique de l'excès ? Peut-on convertir cette violence en fécondité ? Qu'en est-il, en général, d'un bon usage de la limite et de l'excès en phénoménologie ? Questionnement qui ne se laissera jamais séparer d'une autre interrogation : e, l'épreuve de la limite, n'est-ce pas toujours une subjectivité qui s'éprouve ?
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