L'araignée et l'abeille. Confinement et métaphysique
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- Nombre de pages60
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.06 kg
- Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 0,5 cm
- ISBN979-10-370-3184-6
- EAN9791037031846
- Date de parution27/09/2023
- CollectionPhilosophies de l'esprit
- ÉditeurHermann
- TraducteurMathilde Thomazo
Résumé
Dans la tradition occidentale ancienne, l'affliction connue sous le nom de "mélancolie" était décrite comme un excès d'humeur corporelle ou de fluide appelé "bile noire" . En 1697, Jonathan Swift associe l'accumulation de fiel et l'excrétion de substances nauséabondes à la figure allégorique de l'araignée, animal qui, "se nourrissant et s'engendrant elle-même, transforme tout en excrément et venin" .
L'abeille, en revanche, buttine "des fleurs et des bourgeons des champs et du jardin" et s'écrie : "Quoi que je collecte ainsi [... ], cela m'enrichit sans porter la moindre atteinte à leur beauté, à leur parfum ou à leur goût". A partir de ce bestiaire, et à partir de l'expérience du confinement que chacun(e) d'entre nous a pu vivre pendant la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, l'autrice du présent essai propose une réflexion originale, métaphysique, sur notre condition actuelle : la Modernité nous condamne-t-elle au narcissisme et à la mélancolie ?
L'abeille, en revanche, buttine "des fleurs et des bourgeons des champs et du jardin" et s'écrie : "Quoi que je collecte ainsi [... ], cela m'enrichit sans porter la moindre atteinte à leur beauté, à leur parfum ou à leur goût". A partir de ce bestiaire, et à partir de l'expérience du confinement que chacun(e) d'entre nous a pu vivre pendant la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, l'autrice du présent essai propose une réflexion originale, métaphysique, sur notre condition actuelle : la Modernité nous condamne-t-elle au narcissisme et à la mélancolie ?
Dans la tradition occidentale ancienne, l'affliction connue sous le nom de "mélancolie" était décrite comme un excès d'humeur corporelle ou de fluide appelé "bile noire" . En 1697, Jonathan Swift associe l'accumulation de fiel et l'excrétion de substances nauséabondes à la figure allégorique de l'araignée, animal qui, "se nourrissant et s'engendrant elle-même, transforme tout en excrément et venin" .
L'abeille, en revanche, buttine "des fleurs et des bourgeons des champs et du jardin" et s'écrie : "Quoi que je collecte ainsi [... ], cela m'enrichit sans porter la moindre atteinte à leur beauté, à leur parfum ou à leur goût". A partir de ce bestiaire, et à partir de l'expérience du confinement que chacun(e) d'entre nous a pu vivre pendant la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, l'autrice du présent essai propose une réflexion originale, métaphysique, sur notre condition actuelle : la Modernité nous condamne-t-elle au narcissisme et à la mélancolie ?
L'abeille, en revanche, buttine "des fleurs et des bourgeons des champs et du jardin" et s'écrie : "Quoi que je collecte ainsi [... ], cela m'enrichit sans porter la moindre atteinte à leur beauté, à leur parfum ou à leur goût". A partir de ce bestiaire, et à partir de l'expérience du confinement que chacun(e) d'entre nous a pu vivre pendant la crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, l'autrice du présent essai propose une réflexion originale, métaphysique, sur notre condition actuelle : la Modernité nous condamne-t-elle au narcissisme et à la mélancolie ?