L'amour condamné. Esquisse d'une psychothérapie des toxicomanes
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- Nombre de pages286
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.429 kg
- Dimensions14,5 cm × 22,0 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-8047-2356-9
- EAN9782804723569
- Date de parution20/04/2022
- CollectionPsychologie sciences humaines
- ÉditeurMardaga
Résumé
Psychiatre et psychothérapeute engagé dans le traitement des toxicomanes, l'auteur a pris des options qui se sont heurtées à la loi. Son texte est un récit personnel relatant une tranche de vie marquée par des démêlés avec la justice et même une incarcération. Son propos est de maintenir ouvert un débat sur l'éthique médicale quant à l'exercice de certaines pratiques nées de l'évolution des moeurs et de l'évolution des connaissances.
Il tente de faire comprendre que les interrogations qui découlent de sa pratique ne se lèvent pas à la clôture d'un procès, et que le désarroi de nos sociétés devant la toxicomanie illicite ne se coule pas en "chose jugée".
Il tente de faire comprendre que les interrogations qui découlent de sa pratique ne se lèvent pas à la clôture d'un procès, et que le désarroi de nos sociétés devant la toxicomanie illicite ne se coule pas en "chose jugée".
Psychiatre et psychothérapeute engagé dans le traitement des toxicomanes, l'auteur a pris des options qui se sont heurtées à la loi. Son texte est un récit personnel relatant une tranche de vie marquée par des démêlés avec la justice et même une incarcération. Son propos est de maintenir ouvert un débat sur l'éthique médicale quant à l'exercice de certaines pratiques nées de l'évolution des moeurs et de l'évolution des connaissances.
Il tente de faire comprendre que les interrogations qui découlent de sa pratique ne se lèvent pas à la clôture d'un procès, et que le désarroi de nos sociétés devant la toxicomanie illicite ne se coule pas en "chose jugée".
Il tente de faire comprendre que les interrogations qui découlent de sa pratique ne se lèvent pas à la clôture d'un procès, et que le désarroi de nos sociétés devant la toxicomanie illicite ne se coule pas en "chose jugée".