Journal d'un collectionneur. Marchand de tableaux

Par : René Gimpel
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  • Nombre de pages754
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.955 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
  • ISBN979-10-370-2930-0
  • EAN9791037029300
  • Date de parution15/02/2023
  • ÉditeurHermann
  • PréfacierClément Dirié

Résumé

René Gimpel (1881-1945) fait partie des grands marchands de tableaux de l'entre-deux-guerres. De 1918 à septembre 1939, il rapporte avec justesse, humour et même parfois une certaine férocité, les faits et gestes des personnalités qu'il a rencontrées entre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et Paris. René Gimpel commence à écrire en 1918. Comme le souligne Jean Guéhenno dans la préface de la première édition du Journal, " L'intérêt de l'ouvrage est bien souvent au-delà de la petite histoire ou de l'anecdote.
René Gimpel lui-même savait voir et regarder. Il a le sens du trait ; son oeil est d'un caricaturiste et son Journal se remplit ainsi d'esquisses très personnelles. Il a tout su, tout vu de la peinture pendant quarante ans " , naviguant entre l'Amérique et l'Europe, contribuant à bâtir outre-Atlantique les plus grandes collections : celles de Frick, des Rockefeller, des Rothschild, de Ford, de J. -P.
Morgan... Il côtoie les artistes de son temps, mais aussi les marchands : Joe Duveen, son beau-frère, Durand-Ruel, Paul Rosenberg, Nathan Wildenstein dont il fut l'associé, Ambroise Vollard... Il croise critiques et écrivains, Apollinaire, Berenson, et surtout Marcel Proust qu'il rencontra, dès 1907, à Cabourg, où ils séjournaient dans le même hôtel. Leur passion commune pour Vermeer les lia d'une profonde amitié.
René Gimpel (1881-1945) fait partie des grands marchands de tableaux de l'entre-deux-guerres. De 1918 à septembre 1939, il rapporte avec justesse, humour et même parfois une certaine férocité, les faits et gestes des personnalités qu'il a rencontrées entre le Royaume-Uni, les Etats-Unis et Paris. René Gimpel commence à écrire en 1918. Comme le souligne Jean Guéhenno dans la préface de la première édition du Journal, " L'intérêt de l'ouvrage est bien souvent au-delà de la petite histoire ou de l'anecdote.
René Gimpel lui-même savait voir et regarder. Il a le sens du trait ; son oeil est d'un caricaturiste et son Journal se remplit ainsi d'esquisses très personnelles. Il a tout su, tout vu de la peinture pendant quarante ans " , naviguant entre l'Amérique et l'Europe, contribuant à bâtir outre-Atlantique les plus grandes collections : celles de Frick, des Rockefeller, des Rothschild, de Ford, de J. -P.
Morgan... Il côtoie les artistes de son temps, mais aussi les marchands : Joe Duveen, son beau-frère, Durand-Ruel, Paul Rosenberg, Nathan Wildenstein dont il fut l'associé, Ambroise Vollard... Il croise critiques et écrivains, Apollinaire, Berenson, et surtout Marcel Proust qu'il rencontra, dès 1907, à Cabourg, où ils séjournaient dans le même hôtel. Leur passion commune pour Vermeer les lia d'une profonde amitié.