Je jouerai encore pour nous

Par : Elise Fischer
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  • Nombre de pages289
  • PrésentationBroché
  • Poids0.44 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,4 cm
  • ISBN978-2-7021-4400-8
  • EAN9782702144008
  • Date de parution04/09/2013
  • CollectionFrance toujours et aujourd'hui
  • ÉditeurCalmann-Lévy

Résumé

Dans les années soixante-dix, la révélation d'un lourd secret de famille brise les rêves de bonheur d'une jeune virtuose lorraine. En 1975 Anaïs Lange, jeune pianiste d'origine nancéenne, vit à Strasbourg chez sa grand-mère. On lui demande de remplacer au pied levé un concertiste de renom pour un concert à Nancy. Elle y rencontre un violoniste, Nathanaël, avec lequel elle vit une intense histoire d'amour.
Pour mieux se connaître, les amoureux évoquent leur passé familial. Le grand-père et le père de Nathanaël, qui tenaient un magasin de musique au cour de la vieille ville de Nancy, sont morts en déportation. Sa mère a pu échapper à la rafle en emportant pour seul bagage un violon. Anaïs parle de son père, actif dans la résistance nancéenne. Il a tout tenté pour soustraire les familles juives aux griffes de la Gestapo.
Engagé dans la 2e DB, il a été l'un des héros de la libération de Strasbourg. Tout unit les deux artistes et ils envisagent le mariage quand Anaïs attend un enfant. Mais la mère et la grand-mère de Nathanaël déclarent leur union impossible. Pourtant Anaïs a des ascendances juives et rien ne semble justifier cette opposition. À moins que le roman familial de la jeune pianiste ne soit trop beau pour être vrai.
Dans les années soixante-dix, la révélation d'un lourd secret de famille brise les rêves de bonheur d'une jeune virtuose lorraine. En 1975 Anaïs Lange, jeune pianiste d'origine nancéenne, vit à Strasbourg chez sa grand-mère. On lui demande de remplacer au pied levé un concertiste de renom pour un concert à Nancy. Elle y rencontre un violoniste, Nathanaël, avec lequel elle vit une intense histoire d'amour.
Pour mieux se connaître, les amoureux évoquent leur passé familial. Le grand-père et le père de Nathanaël, qui tenaient un magasin de musique au cour de la vieille ville de Nancy, sont morts en déportation. Sa mère a pu échapper à la rafle en emportant pour seul bagage un violon. Anaïs parle de son père, actif dans la résistance nancéenne. Il a tout tenté pour soustraire les familles juives aux griffes de la Gestapo.
Engagé dans la 2e DB, il a été l'un des héros de la libération de Strasbourg. Tout unit les deux artistes et ils envisagent le mariage quand Anaïs attend un enfant. Mais la mère et la grand-mère de Nathanaël déclarent leur union impossible. Pourtant Anaïs a des ascendances juives et rien ne semble justifier cette opposition. À moins que le roman familial de la jeune pianiste ne soit trop beau pour être vrai.