Docteur en sciences de gestion à l'université Montpellier II (FRANCE) et en sciences comptables à l'université de la Manouba (TUNISIE). Il est actuellement assistant en comptabilité à la faculté des sciences économiques et de gestion de la Mahdia (TUNISIE).
Incertitude et comportement des analystes financiers. Une comparaison des entreprises de haute et faible technologie
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- Nombre de pages260
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.387 kg
- Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 0,0 cm
- ISBN978-3-8417-8329-5
- EAN9783841783295
- Date de parution24/11/2011
- CollectionOMN.UNIV.EUROP.
- ÉditeurUniv Européenne
Résumé
Cet ouvrage s'intègre dans le cadre de la finance comportementale. Il examine l'impact de l'incertitude sur l'optimisme et l'excès de confiance des analystes financiers. Il est organisé en deux parties. L'objectif de la première partie est d'asseoir théoriquement la relation entre l'incertitude informationnelle et le comportement des analystes financiers en se référant essentiellement aux apports de la finance comportementale.
La deuxième partie teste empiriquement l'effet de l'incertitude sur l'optimisme et l'excès de confiance des analystes. L'ouvrage montre que les analystes sur-réagissent aux bonnes informations et sous-réagissent aux mauvaises informations (optimisme). Ils sur-réagissent aussi aux informations privées et sous-réagissent aux informations publiques (excès de confiance). Ces deux phénomènes sont plus forts chez les entreprises de haute technologie (haute incertitude) et diminuent significativement après le krach (2000-2001).
La deuxième partie teste empiriquement l'effet de l'incertitude sur l'optimisme et l'excès de confiance des analystes. L'ouvrage montre que les analystes sur-réagissent aux bonnes informations et sous-réagissent aux mauvaises informations (optimisme). Ils sur-réagissent aussi aux informations privées et sous-réagissent aux informations publiques (excès de confiance). Ces deux phénomènes sont plus forts chez les entreprises de haute technologie (haute incertitude) et diminuent significativement après le krach (2000-2001).
Cet ouvrage s'intègre dans le cadre de la finance comportementale. Il examine l'impact de l'incertitude sur l'optimisme et l'excès de confiance des analystes financiers. Il est organisé en deux parties. L'objectif de la première partie est d'asseoir théoriquement la relation entre l'incertitude informationnelle et le comportement des analystes financiers en se référant essentiellement aux apports de la finance comportementale.
La deuxième partie teste empiriquement l'effet de l'incertitude sur l'optimisme et l'excès de confiance des analystes. L'ouvrage montre que les analystes sur-réagissent aux bonnes informations et sous-réagissent aux mauvaises informations (optimisme). Ils sur-réagissent aussi aux informations privées et sous-réagissent aux informations publiques (excès de confiance). Ces deux phénomènes sont plus forts chez les entreprises de haute technologie (haute incertitude) et diminuent significativement après le krach (2000-2001).
La deuxième partie teste empiriquement l'effet de l'incertitude sur l'optimisme et l'excès de confiance des analystes. L'ouvrage montre que les analystes sur-réagissent aux bonnes informations et sous-réagissent aux mauvaises informations (optimisme). Ils sur-réagissent aussi aux informations privées et sous-réagissent aux informations publiques (excès de confiance). Ces deux phénomènes sont plus forts chez les entreprises de haute technologie (haute incertitude) et diminuent significativement après le krach (2000-2001).