Iguerande (Saône - et - Loire). Langue et coutumes d'autrefois

Par : Joseph Sandre
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  • Nombre de pages196
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.322 kg
  • Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-312-12084-3
  • EAN9782312120843
  • Date de parution13/05/2022
  • ÉditeurEditions du Net (Les)
  • Commentateur (texte)Claude Michel

Résumé

Joseph Sandre (1850-1926) appartient à une famille d'instituteurs que Mona Ozouf a mis en lumière en publiant leurs cahiers et souvenirs. Joseph, qui a fait toute sa carrière en Brionnais-Charolais, a laissé des monographies des villages où il a exercé (Montceaux-l'Etoile, Saint-Julien-de-Civry, Ormes et Vérizet). Il n'a jamais enseigné à Iguerande, mais y a vécu une partie de son enfance et il a laissé une importante documentation, qu'il envisageait peut-être d'utiliser pour faire une monographie de cette commune.
La partie, semble-t-il, la plus achevée est celle concernant la langue et les coutumes. Elle forme un cahier de près de 150 pages, terminé en août 1920, qui comprend un glossaire du patois d'Iguerande et décrit les coutumes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ce patient travail d'ethnologue est précieux pour "éclairer l'histoire des peuples, [et] fixer leur vie propre dans le passé".
Les Iguerandais d'aujourd'hui y verront comment vivaient leurs ancêtres, leurs moeurs, leurs habitations, leurs travaux et leurs distractions.
Joseph Sandre (1850-1926) appartient à une famille d'instituteurs que Mona Ozouf a mis en lumière en publiant leurs cahiers et souvenirs. Joseph, qui a fait toute sa carrière en Brionnais-Charolais, a laissé des monographies des villages où il a exercé (Montceaux-l'Etoile, Saint-Julien-de-Civry, Ormes et Vérizet). Il n'a jamais enseigné à Iguerande, mais y a vécu une partie de son enfance et il a laissé une importante documentation, qu'il envisageait peut-être d'utiliser pour faire une monographie de cette commune.
La partie, semble-t-il, la plus achevée est celle concernant la langue et les coutumes. Elle forme un cahier de près de 150 pages, terminé en août 1920, qui comprend un glossaire du patois d'Iguerande et décrit les coutumes de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ce patient travail d'ethnologue est précieux pour "éclairer l'histoire des peuples, [et] fixer leur vie propre dans le passé".
Les Iguerandais d'aujourd'hui y verront comment vivaient leurs ancêtres, leurs moeurs, leurs habitations, leurs travaux et leurs distractions.