Hypérion ou l'ermite en Grèce
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- Nombre de pages385
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.5 kg
- Dimensions11,0 cm × 21,0 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-84505-150-8
- EAN9782845051508
- Date de parution01/12/2013
- ÉditeurRessouvenances
- TraducteurJoseph Delage
Résumé
Ce roman poème énigmatique parut en deux tomes, en 1797 et 1799, peu avant que Hölderlin ne s'enferme dans son malheur, clos par la mort de "Diotima", Suzette Gontard en qui Benjamin Péret nommait une grande plume de l'"amour sublime". Hypérion narre - à travers des lettres à un ami ou entre des amants - une errance, une tentative d'émancipation diluée dans la barbarie, la déliquescence des aspirations et la mort au monde.
Il évoque davantage qu'il ne raconte, faisant de la subjectivité le critère et le contenu de ses méditations philosophiques et lyriques : subjectivité prise en tenaille entre le souvenir exemplaire des héros et des oeuvres mythiques et d'autre part la trivialité désabusée de l'existence soumise au despotisme et à la banalité.
Il évoque davantage qu'il ne raconte, faisant de la subjectivité le critère et le contenu de ses méditations philosophiques et lyriques : subjectivité prise en tenaille entre le souvenir exemplaire des héros et des oeuvres mythiques et d'autre part la trivialité désabusée de l'existence soumise au despotisme et à la banalité.
Ce roman poème énigmatique parut en deux tomes, en 1797 et 1799, peu avant que Hölderlin ne s'enferme dans son malheur, clos par la mort de "Diotima", Suzette Gontard en qui Benjamin Péret nommait une grande plume de l'"amour sublime". Hypérion narre - à travers des lettres à un ami ou entre des amants - une errance, une tentative d'émancipation diluée dans la barbarie, la déliquescence des aspirations et la mort au monde.
Il évoque davantage qu'il ne raconte, faisant de la subjectivité le critère et le contenu de ses méditations philosophiques et lyriques : subjectivité prise en tenaille entre le souvenir exemplaire des héros et des oeuvres mythiques et d'autre part la trivialité désabusée de l'existence soumise au despotisme et à la banalité.
Il évoque davantage qu'il ne raconte, faisant de la subjectivité le critère et le contenu de ses méditations philosophiques et lyriques : subjectivité prise en tenaille entre le souvenir exemplaire des héros et des oeuvres mythiques et d'autre part la trivialité désabusée de l'existence soumise au despotisme et à la banalité.