Histoire de femmes aborigènes
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- Nombre de pages243
- PrésentationBroché
- Poids0.41 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,2 cm
- ISBN2-13-055266-8
- EAN9782130552666
- Date de parution19/01/2006
- CollectionPartage du savoir
- ÉditeurPUF
- PréfacierDidier Daeninckx
Résumé
Issues d'une culture ancrée dans l'oralité et dans laquelle le collectif dépasse l'individuel, les femmes aborigènes d'Australie présentent des autobiographies à caractère hybride mêlant tradition et modernité. A travers leurs récits, elles racontent l'histoire de leur vie, reflet de l'histoire d'un peuple. Enlevées à leurs familles étant enfants, arrachées à leur culture traditionnelle, la majorité des femmes aborigènes ont été élevées dans des missions dirigées par les Blancs.
Autobiographies " prétextes " visant à présenter une version aborigène de l'histoire australienne, leurs récits sont-ils pour autant scientifiquement fiables ? Quelles limites la mémoire impose-t-elle au récit historique ? A partir d'un corpus de vingt autobiographies publiées entre 1972 (fin de la politique d'assimilation) et 2 000 (début officiel du processus de réconciliation), Fanny Duthil analyse comment deux générations d'auteurs ont traversé la politique d'assimilation.
Oscillant désormais entre deux mondes aux valeurs différentes, les femmes aborigènes parlent avec nostalgie de leur culture ancestrale et offrent au lecteur une vision du monde " autre ", plus spirituelle.
Autobiographies " prétextes " visant à présenter une version aborigène de l'histoire australienne, leurs récits sont-ils pour autant scientifiquement fiables ? Quelles limites la mémoire impose-t-elle au récit historique ? A partir d'un corpus de vingt autobiographies publiées entre 1972 (fin de la politique d'assimilation) et 2 000 (début officiel du processus de réconciliation), Fanny Duthil analyse comment deux générations d'auteurs ont traversé la politique d'assimilation.
Oscillant désormais entre deux mondes aux valeurs différentes, les femmes aborigènes parlent avec nostalgie de leur culture ancestrale et offrent au lecteur une vision du monde " autre ", plus spirituelle.
Issues d'une culture ancrée dans l'oralité et dans laquelle le collectif dépasse l'individuel, les femmes aborigènes d'Australie présentent des autobiographies à caractère hybride mêlant tradition et modernité. A travers leurs récits, elles racontent l'histoire de leur vie, reflet de l'histoire d'un peuple. Enlevées à leurs familles étant enfants, arrachées à leur culture traditionnelle, la majorité des femmes aborigènes ont été élevées dans des missions dirigées par les Blancs.
Autobiographies " prétextes " visant à présenter une version aborigène de l'histoire australienne, leurs récits sont-ils pour autant scientifiquement fiables ? Quelles limites la mémoire impose-t-elle au récit historique ? A partir d'un corpus de vingt autobiographies publiées entre 1972 (fin de la politique d'assimilation) et 2 000 (début officiel du processus de réconciliation), Fanny Duthil analyse comment deux générations d'auteurs ont traversé la politique d'assimilation.
Oscillant désormais entre deux mondes aux valeurs différentes, les femmes aborigènes parlent avec nostalgie de leur culture ancestrale et offrent au lecteur une vision du monde " autre ", plus spirituelle.
Autobiographies " prétextes " visant à présenter une version aborigène de l'histoire australienne, leurs récits sont-ils pour autant scientifiquement fiables ? Quelles limites la mémoire impose-t-elle au récit historique ? A partir d'un corpus de vingt autobiographies publiées entre 1972 (fin de la politique d'assimilation) et 2 000 (début officiel du processus de réconciliation), Fanny Duthil analyse comment deux générations d'auteurs ont traversé la politique d'assimilation.
Oscillant désormais entre deux mondes aux valeurs différentes, les femmes aborigènes parlent avec nostalgie de leur culture ancestrale et offrent au lecteur une vision du monde " autre ", plus spirituelle.

