Histoire de cul en toutes lettres
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- Nombre de pages130
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.162 kg
- Dimensions13,4 cm × 20,4 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-414-51105-1
- EAN9782414511051
- Date de parution09/02/2021
- ÉditeurEdilivre
Résumé
" Tu ne sais faire l'amour que sur un lit, il est quelquefois charmant sur une feuille de papier." Beaumarchais. Histoire de cul en toutes lettres est le récit d'une passion amoureuse. Marc est marié. Anne vit seule. Quand ils ne sont pas ensemble, ils s'écrivent des lettres où s'étalent fantasmes, rêves, réalités, jeux avec les mots. Cet échange de lettres érotiques entretient et multiplie leur passion.
" Je relis ta lettre qui par un subterfuge (par toi demandé et par moi commencé) étale notre indécence, notre plaisir, nos rêves et nos réalités. Ces vagabondages de tête (à queue) me tiennent chaud au ventre. Mille caresses à toi, mille postures et mille plaisirs. Comme je regrette que mon corps ait ses limites, Marc." " Je t'attends sans trop espérer, mardi c'est férié, jour des morts, il m'étonnerait que ce soit un bon signe pour les vivants ? Aurons-nous une nuit ? Deux heures ? Trois minutes pour nous respirer ?? Je l'espère sans l'attendre, évidemment je pense à toi, à nous, avec un peu de chance, ça se fera, " l'un dans l'autre " on y est toujours arrivé...
Anne." La dernière partie de leur correspondance amoureuse n'est faite que des lettres de Anne ; Marc est malade, il ne peut pas lui écrire. Elle attend sa sortie d'hôpital pour lui remettre son courrier. " M... où es-tu ? Que fais-tu ? A quoi ça sert tout ce que je t'écris ? Personne ne le lit et je dis tout le temps la même chose : désirs, attente. Tu es si loin ! Merde alors ! MERDE ! " Leur passion aura duré sept ans.
" Je relis ta lettre qui par un subterfuge (par toi demandé et par moi commencé) étale notre indécence, notre plaisir, nos rêves et nos réalités. Ces vagabondages de tête (à queue) me tiennent chaud au ventre. Mille caresses à toi, mille postures et mille plaisirs. Comme je regrette que mon corps ait ses limites, Marc." " Je t'attends sans trop espérer, mardi c'est férié, jour des morts, il m'étonnerait que ce soit un bon signe pour les vivants ? Aurons-nous une nuit ? Deux heures ? Trois minutes pour nous respirer ?? Je l'espère sans l'attendre, évidemment je pense à toi, à nous, avec un peu de chance, ça se fera, " l'un dans l'autre " on y est toujours arrivé...
Anne." La dernière partie de leur correspondance amoureuse n'est faite que des lettres de Anne ; Marc est malade, il ne peut pas lui écrire. Elle attend sa sortie d'hôpital pour lui remettre son courrier. " M... où es-tu ? Que fais-tu ? A quoi ça sert tout ce que je t'écris ? Personne ne le lit et je dis tout le temps la même chose : désirs, attente. Tu es si loin ! Merde alors ! MERDE ! " Leur passion aura duré sept ans.
" Tu ne sais faire l'amour que sur un lit, il est quelquefois charmant sur une feuille de papier." Beaumarchais. Histoire de cul en toutes lettres est le récit d'une passion amoureuse. Marc est marié. Anne vit seule. Quand ils ne sont pas ensemble, ils s'écrivent des lettres où s'étalent fantasmes, rêves, réalités, jeux avec les mots. Cet échange de lettres érotiques entretient et multiplie leur passion.
" Je relis ta lettre qui par un subterfuge (par toi demandé et par moi commencé) étale notre indécence, notre plaisir, nos rêves et nos réalités. Ces vagabondages de tête (à queue) me tiennent chaud au ventre. Mille caresses à toi, mille postures et mille plaisirs. Comme je regrette que mon corps ait ses limites, Marc." " Je t'attends sans trop espérer, mardi c'est férié, jour des morts, il m'étonnerait que ce soit un bon signe pour les vivants ? Aurons-nous une nuit ? Deux heures ? Trois minutes pour nous respirer ?? Je l'espère sans l'attendre, évidemment je pense à toi, à nous, avec un peu de chance, ça se fera, " l'un dans l'autre " on y est toujours arrivé...
Anne." La dernière partie de leur correspondance amoureuse n'est faite que des lettres de Anne ; Marc est malade, il ne peut pas lui écrire. Elle attend sa sortie d'hôpital pour lui remettre son courrier. " M... où es-tu ? Que fais-tu ? A quoi ça sert tout ce que je t'écris ? Personne ne le lit et je dis tout le temps la même chose : désirs, attente. Tu es si loin ! Merde alors ! MERDE ! " Leur passion aura duré sept ans.
" Je relis ta lettre qui par un subterfuge (par toi demandé et par moi commencé) étale notre indécence, notre plaisir, nos rêves et nos réalités. Ces vagabondages de tête (à queue) me tiennent chaud au ventre. Mille caresses à toi, mille postures et mille plaisirs. Comme je regrette que mon corps ait ses limites, Marc." " Je t'attends sans trop espérer, mardi c'est férié, jour des morts, il m'étonnerait que ce soit un bon signe pour les vivants ? Aurons-nous une nuit ? Deux heures ? Trois minutes pour nous respirer ?? Je l'espère sans l'attendre, évidemment je pense à toi, à nous, avec un peu de chance, ça se fera, " l'un dans l'autre " on y est toujours arrivé...
Anne." La dernière partie de leur correspondance amoureuse n'est faite que des lettres de Anne ; Marc est malade, il ne peut pas lui écrire. Elle attend sa sortie d'hôpital pour lui remettre son courrier. " M... où es-tu ? Que fais-tu ? A quoi ça sert tout ce que je t'écris ? Personne ne le lit et je dis tout le temps la même chose : désirs, attente. Tu es si loin ! Merde alors ! MERDE ! " Leur passion aura duré sept ans.