Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
"Les gladiateurs juraient de supporter le fer, le feu, la chaîne, les coups et la mort. François aurait pu écrire un roman historique sur les jeux...
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Livré chez vous entre le 8 octobre et le 22 octobre
En librairie
Résumé
"Les gladiateurs juraient de supporter le fer, le feu, la chaîne, les coups et la mort. François aurait pu écrire un roman historique sur les jeux du cirque. Un roman sur les gladiateurs n'aurait-il pas été plus autobiographique qu'un roman sur son père? Etre un fils, c'est bien. Etre un gladiateur a plus d'allure. A moins que ce ne soit la même chose? Un jour ou l'autre, il faudrait qu'il comprenne que le personnage principal du livre sur son père serait bel et bien lui, le fils du père, le gladiateur qui entre dans l'amphithéâtre protégé par un casque et des jambières, mais le corps nu et sans défense, afin que les blessures mortelles soient possibles".
Au début des années quarante, Franz, catholique fervent, auteur de best-sellers sur l'amour et la fidélité, engendre un fils, François, qui deviendra mécréant, érotomane, agoraphobe et... romancier.
Vingt ans après la mort de Franz, François va se lancer, affectueusement mais non sans hargne, dans une explication posthume avec son père. Sortira-t-il indemne de cette confrontation?
Ce livre tendre et grinçant est le récit désopilant d'une initiation à la vie adulte, la chronique d'une vie sexuelle agitée, ainsi qu'un pamphlet acerbe contre le rigorisme et les préjugés.
François Weyergans est l'auteur de plusieurs romans, dont " Macaire le Copte ", " Le radeau de la méduse ", " La Vie d'un bébé " et " La Démence du boxeur " (prix Renaudot 1922).