France-Allemagne. Du chômage endémique à la prospérité retrouvée
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- Nombre de pages167
- PrésentationBroché
- Poids0.295 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-911256-65-3
- EAN9782911256653
- Date de parution24/11/2011
- CollectionLibres opinions
- ÉditeurPresses des Mines
Résumé
Pourquoi les entreprises allemandes affichent-elles une compétitivité supérieure aux françaises, leur permettant d'investir, d'exporter et de créer des emplois ? Faut-il y voir une suprématie technologique ou managériale allemande ? La réponse est ailleurs, nous dit Henri Lagarde : la première "botte secrète" des entreprises d'outre-Rhin tient à des règles du jeu, notamment fiscales et sociales, propices à la rentabilité.
Atout qui manque cruellement à leurs concurrentes hexagonales ! La comparaison que mène l'auteur entre les lignes-clés d'une PME bretonne et ce qu'elles deviendraient dans un contexte allemand est sans appel : on découvre que les charges sociales pèsent deux fois plus sur les entreprises françaises que sur les allemandes, ou encore que la fiscalité de ces dernières est au moins 40 % inférieure. Pourquoi la France ne s'inspire-t-elle pas de son voisin ? C'est qu'elle est victime du "syndrome NIH" ("not invented here", ou "pas inventé ici") conduisant à rejeter, au nom d'une prétendue spécificité culturelle, tout exemple ou idée venant de l'extérieur.
Comment les choses, et surtout les mentalités, peuvent-elles changer ? L'auteur avance des réponses sans mobiliser de grande théorie mais en collant à la réalité du terrain dans toute sa complexité, en proposant des solutions concrètes.
Atout qui manque cruellement à leurs concurrentes hexagonales ! La comparaison que mène l'auteur entre les lignes-clés d'une PME bretonne et ce qu'elles deviendraient dans un contexte allemand est sans appel : on découvre que les charges sociales pèsent deux fois plus sur les entreprises françaises que sur les allemandes, ou encore que la fiscalité de ces dernières est au moins 40 % inférieure. Pourquoi la France ne s'inspire-t-elle pas de son voisin ? C'est qu'elle est victime du "syndrome NIH" ("not invented here", ou "pas inventé ici") conduisant à rejeter, au nom d'une prétendue spécificité culturelle, tout exemple ou idée venant de l'extérieur.
Comment les choses, et surtout les mentalités, peuvent-elles changer ? L'auteur avance des réponses sans mobiliser de grande théorie mais en collant à la réalité du terrain dans toute sa complexité, en proposant des solutions concrètes.
Pourquoi les entreprises allemandes affichent-elles une compétitivité supérieure aux françaises, leur permettant d'investir, d'exporter et de créer des emplois ? Faut-il y voir une suprématie technologique ou managériale allemande ? La réponse est ailleurs, nous dit Henri Lagarde : la première "botte secrète" des entreprises d'outre-Rhin tient à des règles du jeu, notamment fiscales et sociales, propices à la rentabilité.
Atout qui manque cruellement à leurs concurrentes hexagonales ! La comparaison que mène l'auteur entre les lignes-clés d'une PME bretonne et ce qu'elles deviendraient dans un contexte allemand est sans appel : on découvre que les charges sociales pèsent deux fois plus sur les entreprises françaises que sur les allemandes, ou encore que la fiscalité de ces dernières est au moins 40 % inférieure. Pourquoi la France ne s'inspire-t-elle pas de son voisin ? C'est qu'elle est victime du "syndrome NIH" ("not invented here", ou "pas inventé ici") conduisant à rejeter, au nom d'une prétendue spécificité culturelle, tout exemple ou idée venant de l'extérieur.
Comment les choses, et surtout les mentalités, peuvent-elles changer ? L'auteur avance des réponses sans mobiliser de grande théorie mais en collant à la réalité du terrain dans toute sa complexité, en proposant des solutions concrètes.
Atout qui manque cruellement à leurs concurrentes hexagonales ! La comparaison que mène l'auteur entre les lignes-clés d'une PME bretonne et ce qu'elles deviendraient dans un contexte allemand est sans appel : on découvre que les charges sociales pèsent deux fois plus sur les entreprises françaises que sur les allemandes, ou encore que la fiscalité de ces dernières est au moins 40 % inférieure. Pourquoi la France ne s'inspire-t-elle pas de son voisin ? C'est qu'elle est victime du "syndrome NIH" ("not invented here", ou "pas inventé ici") conduisant à rejeter, au nom d'une prétendue spécificité culturelle, tout exemple ou idée venant de l'extérieur.
Comment les choses, et surtout les mentalités, peuvent-elles changer ? L'auteur avance des réponses sans mobiliser de grande théorie mais en collant à la réalité du terrain dans toute sa complexité, en proposant des solutions concrètes.