Faillibilisme et pensée du temps

Par : Ousmane Diouf

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  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • Poids0.142 kg
  • Dimensions15,2 cm × 22,9 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-3-330-87762-7
  • EAN9783330877627
  • Date de parution01/02/2018
  • CollectionOMN.UNIV.EUROP.
  • ÉditeurUniv Européenne

Résumé

L'objectif que nous nous sommes assigné à travers ce modeste travail, c'est de montrer comment à partir du faillibilisme, Popper pense le temps qui apparaît désormais comme une dimension du réel. Pour mieux mettre en exergue, le caractère à la fois audacieux et profond de sa philosophie, mais également le rapport entre sa théorie de la connaissance et la pensée du temps, nous avons revisité la conception éternitaire du temps en nous appuyant sur entre autres thèses, celles d'Héraclite et de Platon.
Cela nous a permis de procéder à une étude analytique afin de mieux rendre compte de la conception poppérienne du faillibilisme pour davantage examiner le rapport qu'il y a entre le faillibilisme et la pensée du temps. Il est apparu aussi que, contre la vérification, Sir Karl opte pour le faillibilisme, c'est-à-dire, pour la falsification des théories, seule manière, selon lui, d'accroître nos connaissances.
Et pouvoir être falsifiée pour une théorie, nous dit-il, c'est pouvoir être rejetée. Ainsi toute théorie qui ne peut pas être falsifiée, n'est pas scientifique.
L'objectif que nous nous sommes assigné à travers ce modeste travail, c'est de montrer comment à partir du faillibilisme, Popper pense le temps qui apparaît désormais comme une dimension du réel. Pour mieux mettre en exergue, le caractère à la fois audacieux et profond de sa philosophie, mais également le rapport entre sa théorie de la connaissance et la pensée du temps, nous avons revisité la conception éternitaire du temps en nous appuyant sur entre autres thèses, celles d'Héraclite et de Platon.
Cela nous a permis de procéder à une étude analytique afin de mieux rendre compte de la conception poppérienne du faillibilisme pour davantage examiner le rapport qu'il y a entre le faillibilisme et la pensée du temps. Il est apparu aussi que, contre la vérification, Sir Karl opte pour le faillibilisme, c'est-à-dire, pour la falsification des théories, seule manière, selon lui, d'accroître nos connaissances.
Et pouvoir être falsifiée pour une théorie, nous dit-il, c'est pouvoir être rejetée. Ainsi toute théorie qui ne peut pas être falsifiée, n'est pas scientifique.